Fraction de rayonnement solaire incident pénétrant dans l'ambiance intérieure sous forme de chaleur à travers un vitrage, exprimée en [%] par le facteur g. Celui-ci prend en compte le rayonnement solaire direct et le rayonnement absorbé par le vitrage puis réémis vers l'intérieur sous forme de chaleur.
... lire la suiteQuantité de chaleur traversant une paroi en régime permanent par unité de surface et par unité de différence de température entre les ambiances situées de part et d'autre de la paroi. Il dépend de l'épaisseur et de la nature des matériaux mis en œuvre [W/m².K]
... lire la suiteCoefficient de transmission thermique linéique ?e : terme de correction linéique du flux thermique, calculé suivant la référence unidimensionnelle et pour une différence de température de 1 K entre les environnements situés de part et d'autre du nœud constructif linéaire.[W/mK]
Mode de production simultanée d'électricité et de chaleur comparativement économe en combustible fossile. La chaleur récupérée permet un gain en énergie primaire qui s'accompagne d'une réduction sensible de certaines émissions polluantes.
Ensemble des processus visant à s'assurer que les fonctionnalités effectives des équipements et leur performance énergétique correspondent à ce qui a été conçu en base.
Substances organiques, d'origine naturelle ou pétrochimique ayant une grande volatilité, ce qui leur permet de se déplacer dans l'atmosphère. Leur inhalation peut avoir un impact négatif sur la santé.
... lire la suiteContrainte mécanique équivalente à l'action d'une force qui exerce une pression à chaque extrémité d'un cylindre ou d'une poutre rectiligne
Mode de transfert de la chaleur provoqué par une différence de température entre deux éléments en contact direct par simple interaction moléculaire. Le flux de chaleur va toujours des zones chaudes vers les zones froides.
Consommation d'energie primaire de référence: il s'agit de la consommation d'énergie primaire calculée pour une unité PEB présentant la même surface de plancher chauffée, la même surface totale de déperdition, le même volume protégé et le même usage standardisé. [kWh/an]
Proportion, en masse, de matière recyclée contenue dans le produit, selon la norme ISO 14021. Seules les matières pré- et post-consommateur sont considérées comme contenu recyclé.
Partie parallèle au plan du vitrage de l'angle formé par la feuillure.
Echange de chaleur entre une surface et un fluide mobile à son contact ou déplacement de chaleur au sein d'un fluide par le mouvement d'ensemble de ses molécules d'un point à un autre. Dans le processus de convection, la chaleur se déplace toujours des zones chaudes vers les zones froides.
COP tenant compte de la consommation du compresseur et de tous les auxiliaires. Il est mesuré en laboratoire dans des conditions standards de test.
... lire la suiteModification de la capacité d'absorption et de réflexion acoustique d'une ou de plusieurs parois en agissant sur leur texture, leur relief, leur géométrie et les matériaux de revêtement. La correction acoustique n'isole pas du bruit, mais estompe l'écho et la réverbération.
Le métal avec le potentiel électrochimique le plus bas (métal de base) se corrode au contact avec un métal à plus haut potentiel (métal noble) par ionisation. Ce risque augmente pour les tuyaux en acier galvanisé lorsque la température dépasse 60 °C.
Espace géographique qui constitue un passage continu entre écosystèmes et habitats naturels ou modifiés. Il assure le maintien de la diversité biologique grâce à la facilité de migration et de dispersion de faune et flore, assurant ainsi leur conservation à long terme.
Approche de conception et de production industrielle permettant de limiter l'impact environnemental d'un produit grâce à la réintégration de la matière arrivée en fin de vie dans la boucle de production, au moins par le recyclage effectif, et au mieux sans transformation intermédiaire.
... lire la suiteApproche de conception et de production industrielle qui prend en compte le cycle de vie d'un produit depuis l'extraction des matières premières jusqu'à la fin de vie.
Approche de conception et de production industrielle prenant en compte le cycle de vie d'un produit depuis l'extraction des matières premières jusqu'à la porte de l'usine, compte tenu de la difficulté pour un fabricant de prendre en compte, pour un produit donné, les impacts que celui-ci générera en aval de l'usine. Elle intègre cependant généralement les éléments connus indispensables à la mise en œuvre (emploi d'une colle, d'un mortier, etc.).
Un critère de surchauffe est un indicateur qui montre dans quelle mesure le bâtiment présente des risques de surchauffe.
L'approche « cycle de la matière » peut se faire à plusieurs niveaux. En vue d'atteindre un niveau de durabilité optimal sous l'angle de la matière, le cycle de vie est à prendre en considération :
Le cycle de l'eau est principalement mû par le soleil et la gravité de la Terre qui donnent à l'eau l'énergie nécessaire pour circuler à la surface de la Terre (mécanismes d'évaporation, de précipitation, de transpiration, de ruissellement, d'infiltration du cycle de l'eau). Des déséquilibres naturels peuvent apparaître dès que l'homme perturbe le cycle naturel de l'eau pour ses besoins. L'imperméabilisation et l'urbanisation croissantes ainsi que l'augmentation de l'intensité des orages provoquent de plus en plus d'inondations des infrastructures publiques et privées. Ruissellement, pollution et pompage sont les principaux perturbants du cycle naturel liés à l'urbanisation, au développement des industries et du réseau de voiries, à l'augmentation de la démographie, et aux modifications des mœurs en matière d'eau. Ménager le cycle hydrique en réduisant les eaux de ruissellement permet de limiter érosions, inondations, assèchement des nappes, diminution des fonctions épuratives du sol, dilution des eaux usées et grossissement de la quantité des eaux usées à traiter, etc.
Le procédé de Czochralski (Cz) est une méthode de croissance des cristaux consistant à les tirer vers le haut à partir du matériau fondu (masse liquide à haute température). L'on utilise pour ce faire un germe monocristallin avec une orientation cristalline connue comme matériau de départ. Le processus intervient dans un environnement inerte, plus précisément, dans un creuset en quartz, généralement soutenu par des éléments de chauffage en graphite. Dans ce cadre, l'on ajoute le dopage souhaité au matériau fondu.
Unité de valeur du niveau sonore, sous-multiple du bel, exprimant le rapport entre la pression acoustique (efficace) au carré et une pression acoustique de référence au carré qui correspond au seuil d'audition. Décibel A [dB(A)] : unité de valeur du niveau sonore avec la pondération A. Le niveau sonore exprimé en [dB(A)] est représentatif de la perception réelle par l'oreille humaine aux sons de faible et moyenne intensité. Décibel C [dB(C)] : unité de valeur du niveau sonore avec la pondération C. Le niveau sonore exprimé en [dB(C)] est représentatif de la perception réelle par l'oreille humaine aux sons de forte intensité.
... lire la suiteIndice de la quantité d'énergie électromagnétique absorbée par l'organisme en cas de fonctionnement à pleine puissance d'un appareil produisant des ondes électromagnétiques. S'exprime en [W/kg] ou en [Watt/m²].
Quantité d'eau de pluie rejetée hors de la parcelle pendant et après l'évènement pluvieux. Exprimé en [l/s] ou [l/s. ha.]
Somme des débits régulés des eaux pluviales en sortie de parcelle pendant et après l'évènement pluvieux. Exprimé en [l/s] ou [l/s/ha.]
Débits d'eau pluviale les plus élevés enregistrés.
Dispositif permettant d'éliminer par décantation les particules en suspension ou les solides à forte densité dans les eaux.
Processus qui permet d'éliminer les particules en suspension dans l'eau par l'effet de la pesanteur. Pour pouvoir décanter, la vitesse de l'écoulement de l'eau doit être assez faible, le bassin de rétention peu profond et le temps de séjour dans le dispositif suffisant.
Dispositif de décantation pour la clarification des eaux intégrant des lames dans la zone de séparation. Ce système permet de réduire la taille du dispositif de décantation et d'accélerer le processus de séparation.
Déchets de toute provenance contenant des substances nocives pour les organismes vivants et l'environnement. Ils peuvent être inflammables, toxiques, oxydants, corrosifs, radioactifs, etc.
Outil de communication et de transparence qui permet de présenter les incidences environnementales d'un produit pour l'ensemble de son cycle de vie. Il existe trois types de déclarations selon les normes ISO.
Par opposition à la démolition, processus de décomposition d'un bâtiment afin de limiter la production de déchets et de réintroduire un maximum de matériaux et d'éléments de construction dans le cycle de la matière, grâce à la réutilisation et au recyclage.
Indice de pollution de l'eau par des matières organiques biodégradables.
Indice de polution de l'eau par des matières organiques oxydables.
Rapport entre la somme des surfaces de plancher et la surface totale du périmètre étudié. La densité bâtie brute intègre l'ensemble du territoire sans exclusion (équipements collectifs bâtis ou non, espaces verts, voiries et infrastructures). La densité bâtie nette ne prend en compte que les surfaces réellement occupées par l'affectation donnée (emprise, espaces libres intérieurs, desserte interne).
Etude de l'analyse des mouvements d'un fluide par la résolution numérique des équations régissant ce fluide. On parle aussi de Mécanique des Fluides Numérique (MFN).
Espace non construit entouré de parcelles bâties.
Nombre d'heures au cours desquelles une limite de confort thermique donnée est dépassée.
Dette contractée par l'Homme auprès de la Nature lorsque son intervention sur une parcelle donnée (construction, imperméabilisation du sol,...) entraine la diminution des espaces verts et la dégradation des habitats naturels.
Démarche qui vise à proposer un produit, un service ou une infrastructure conçu pour être utilisé par tous, sans distinction d'âge, de capacité physique ou de culture.
... lire la suiteCoupures réalisées entre les éléments d'une structure pour éviter la propagation du bruit par vibration. Il peut s'agir de bandes résilientes au périmètre des cloisons, de joints de dilatation ou de suspentes antivibratoires. Les liaisons mécaniques rigides sont source de propagation du bruit.
... lire la suiteMode de développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre à leurs propres besoins. Il s'agit donc d'une démarche qui vise à assurer la continuité dans le temps du développement économique et social, dans le respect de l'environnement, et sans compromettre les ressources naturelles indispensables à l'activité humaine.
Détermine la perméabilité d'un matériau à la vapeur d'eau comparée à l'air. Plus la valeur µ est élevée, plus la résistance est grande. On désigne habituellement la résistance à la diffusion de vapeur d'une couche de matériau par la valeur Sd, mesurée en [m] et calculée à partir du produit de la perméabilité du matériau par l'épaisseur de la couche de matériau.
... lire la suiteDétermine la vitesse à laquelle la température d'un matériau évolue en fonction des sollicitations thermiques extérieures. Plus la diffusivité est faible, plus le front de chaleur met du temps à traverser l'épaisseur du matériau. Elle s'exprime en [m²/s] et est symbolisée par la lettre α.
Réglage de l'intensité lumineuse d'un éclairage artificiel.
... lire la suiteGroupe de substances chimiques considérées comme des polluants organiques persistants dans l'environnement. Elles présentent une toxicité potentielle élevée. Omniprésentes dans l'environnement et s'accumulant le long de la chaîne alimentaire, elles sont produites lors de processus thermiques mettant en présence du chlore et des substances organiques, en cas de feux de forêt en particulier ou d'incinération de déchets.
... lire la suiteDescription de la distribution de la lumière par un luminaire, le plus souvent sous forme d'un diagramme polaire. La distribution lumineuse peut être extensive (éclairement uniforme), intensive (concentration du faisceau vers le bas) ou asymétrique (pour des surfaces verticales notamment).
Procédé par lequel on transforme un déchet matériel ou un produit inutile en un nouveau matériau ou un produit, de qualité ou de valeur moindre.
... lire la suiteLittéralement "Evaluation du courant d'air", il évalue le pourcentage de personnes susceptibles d'être dérangées par un courant d'air.
Partie interne du bois, correspondant aux zones d'accroissement les plus anciennement formées, elle ne comporte plus de cellules vivantes. Appelée également « bois de cœur » ou « bois parfait», elle forme un bois dur, compact, dense, sec et imputrescible.
Eaux dotées d'une charge polluante faible, comme les eaux pluviales, les eaux de drainage ou les eaux souterraines, par opposition aux eaux usées, noires ou grises.
... lire la suiteEaux légèrement usées par des activités domestiques liées au lavage et à l'entretien. Les résidus de savon leur donnent une couleur grise. Une fois épurées, elles peuvent être réutilisées, par exemple pour les chasses d'eau ou le nettoyage.
Eaux usées contenant des matières fécales.
Eaux usées contenant uniquement des eaux provenant d'installations sanitaires, de cuisine, du nettoyage de bâtiments, de lessive à domicile ou d'établissements de lavages pour les privés (wasserettes), de lavages de véhicules et de leurs remorques.
Partie de biais dans l'épaisseur d'un mur d'une baie. Elle s'arrête aux montants du dormant de l'ouverture et peut contenir des volets d'intérieur ou d'extérieur. L'ébrasement facilite l'arrivée de la lumière pour des fenêtres, jours et soupiraux, et simplifie le passage des personnes et des véhicules pour des portes et portails.
Mobilité visant à réduire l'utilisation individuelle de la voiture et à favoriser le recours aux modes de déplacement alternatifs (covoiturage, transports en commun, vélo, marche, etc.).
Label européen officiel commun à tous les pays de l'Union européenne accordé aux produits et services qui respectent des critères écologiques précis. Il est basé sur une approche globale d'analyse du cycle de vie (ACV) du produit, de sa fabrication (notamment le choix des matières premières) jusqu'à son élimination ou son recyclage, en passant par sa distribution et son utilisation.
... lire la suiteTendance de l'air intérieur chaud à s'élever dans le bâtiment.
Désigne la contribution des planchers et de l'enveloppe du bâtiment à la rigidité et la résistance des constructions. Son calcul est très complexe, mais permet l'optimisation des moyens par la suppression de tout ou partie des contreventements en cas d'une solidarité entre les parois et planchers d'une part, et l'ossature d'autre part.
Lorsqu'un son est émis simultanément avec un autre son dont le niveau est de 10 dB(A) supérieur, ce dernier rend imperceptible le premier son.
Circulation horizontale de l'air liée aux différences de pression entre la façade exposée au vent (haute pression) et la façade protégée du vent (basse pression).
Rapport du flux lumineux [lm] par la puissance électrique absorbée (W). Elle permet de comparer l'efficacité lumineuse de différentes lampes.
Indique la capacité du matériau à échanger de l'énergie thermique avec son environnement, exprimée en [ J.K-1.m-2.s-1/2]. Elle caractérise la sensation de chaud (faible effusivité) ou de froid (grande effusivité) que donne le contact avec un matériau. Elle est symbolisée par la lettre E.
Hypersensibilité électromagnétique
Se dit des facteurs physico-chimiques d'un écosystème ou d'un processus biologique, des éléments du non-vivant. Se dit aussi d'un milieu impropre à la vie.
... lire la suiteSe dit des facteurs liés à l'activités des être vivants d'un milieu.
... lire la suiteEléments de construction massifs au sens de l'OPEB : un élément de construction est considéré comme massif si sa masse est d'au moins 100 kg/m², déterminée en partant de l'intérieur jusqu'à une lame d'air ou une couche à conductivité thermique inférieure à 0,20 W/(m.K)
Système de management environnemental et d'audit défini par un règlement communautaire européen qui permet aux entreprises de participer volontairement, d'évoluer et d'améliorer leurs performances environnementales.
Différence entre la bande de fréquence émergente et la moyenne des bandes de fréquences voisines. Elle est caractéristique d'un bruit ou d'un son pur.
Quantité d'eau pluviale rejetée hors de la parcelle pendant et après l'évènement pluvieux, exprimée en [l/s] ou en [l/s. ha.].
... lire la suiteTaux de composés organiques volatils (COV) émis dans l'air intérieur après mise en œuvre d'un matériau, exprimée en [µg/m³] d'air. Il est à distinguer de la teneur en composés organiques volatils. Quantité de composés organiques volatiles (COV) intervenant dans la formulation d'un produit. A distinguer du taux d'émissions en composés organiques volatils.
Courbes statistiques établissant les relations entre les intensités, les durées et la fréquence d'apparition des pluies.
... lire la suiteProjection verticale du contour extérieur du volume d'une construction, tous débords et surplombs inclus, hors sol et en sous-sol. L'emprise au sol est ensuite calculée sur base du plus grand périmètre relevé.
Litt. "en bout de tuyau". Se dit d'une action curative de gestion des eaux qui se focalise sur la pollution existante, contrairement à la prévention ou à la réduction à la source.
Mesure de l'efficacité énergétique d'une installation de réfrigération dans certaines conditions. Il est calculé à partir de la chaleur soustraite à la pièce, divisée par l'énergie électrique absorbée par le compresseur.
... lire la suiteEnglobe la quantité d'énergie utilisée par les différents systèmes de chauffage et de refroidissement pour garantir le confort thermique, y compris les pertes liées au fonctionnement de ces différentes installations. Elle représente ainsi la consommation d'énergie globale pour le chauffage et le refroidissement facturée à l'utilisateur.
Energie provenant d'une source que l'extraction épuise (par exemple, combustibles fossiles).
Energie issue de la conversion directe du rayonnement solaire en électricité à l'aide de cellules photovoltaïques.
Une énergie provenant de sources renouvelables ou non renouvelables qui n'a subi aucun processus de conversion ni de transformation (définition cf. Directive 2010/31/UE)
Une énergie produite à partir de sources non fossiles renouvelables, à savoir : énergie éolienne, solaire, aérothermique, géothermique, hydrothermique, marine et hydroélectrique, biomasse, gaz de décharge, gaz des stations d'épuration d'eaux usées et biogaz
Système de certification basé sur la norme ISO de certification AS / NZS 14001:2004. Il aide les organisations à réduire les impacts de leurs activités sur l'environnement, à répondre aux exigences environnementales légales et à améliorer en continu leur performance environnementale.
Déclaration environnementale établie par les producteurs et vérifiée par des tiers indépendants qui donne des informations concernant les impacts environnementaux du produit à partir de l'analyse de son cycle de vie. Les standards de l'EPD sont définis par la norme ISO 14025.
Désigne tous les espaces à proximité d'un bâtiment : espaces non construits, parcelles et espaces avoisinants, bâtiments, espaces publics, équipements collectifs, voiries, cheminements, intérieurs d'ilot, maillage vert et bleu, etc.
Procédé permettant la gestion des eaux usées grâce à des techniques extensives (filtres plantés, lagunes, etc.) et intensives (traitement mécanique et oxygénation) permettant de réduire l'emprise au sol de l'installation.
Unité de mesure permettant d'évaluer la capacité d'une technique d'épuration, basée sur la quantité de pollution émise par personne et par jour.
Dans une agglomération, ensemble formé par les jardins et les domaines privés, les parcs et forêts publics, les bordures des voies de l'infrastructure ferroviaire et des routes, les friches, les zones agricoles, les zones récréatives et les cimetières.
Espace dans lequel se propage un son. Dans un espace acoustiquement ouvert, la propagation du son ne rencontre pas d'obstacles. Le niveau sonore diminue avec l'éloignement de la source et dépend de la puissance de la source.
... lire la suiteEspèce exotique qui a tendance à se propager ou à se répandre en grand nombre, de manière excessive ou menaçante pour la préservation de la diversité biologique. La liste des espèces invasives figure à l'annexe IV de l'Ordonnance relative à la conservation de la nature.
Espèce naturellement originaire d'un environnement ou d'une région.
Etiquette destinée au consommateur qui indique la classe d'efficacité énergétique d'un appareil ou d'un bien.
Dérégulation des processus et cycles écologiques suite à un apport excessif de substances nutritives, principalement de l'azote et du phosphore. Des dépôts de grandes quantités d'azote notamment attaquent la vitalité des forêts, peuvent nuire à la qualité des cultures, contribuent à la pollution des eaux de surface et des eaux souterraines, et menacent la biodiversité.
Principe d'évaporation de l'eau du sol et étendues d'eau, transpirée par les végétaux.
Courant anormal, généralement de grande intensité (plusieurs milliers d'ampères), qui transite dans un réseau suite à l'apparition d'un défaut.
En cas d'incendie, système à ouverture automatique permettant d'évacuer la fumée et la chaleur. Des zones sans fumée sont alors créées, permettant une évacuation sécurisée des personnes présentes dans le bâtiment.
Agencement d'un immeuble tel qu'un delta de 20 dB(A) est prévu entre la façade la plus exposée et celle la moins exposée au bruit.
... lire la suiteRapport entre l'énergie primaire non renouvelable et l'énergie reçue de l'extérieur. Il peut être inférieur à 1 si de l'énergie renouvelable a été utilisée.
Facteur déterminé au moyen de plusieurs COP test obtenus en laboratoire sous différentes conditions (notamment, la température de source froide) et pondérés pour se rapprocher des conditions d'exploitation réelles.
... lire la suiteRapport en pourcentage entre l'éclairement intérieur reçu en un point et l'éclairement extérieur simultané, sur une surface horizontale en site parfaitement dégagé et dans des conditions normalisées de ciel couvert.
Facteur de réduction de l'éclairage d'un luminaire qui permet de prendre en compte la diminution de l'éclairement due à plusieurs phénomènes liés au vieillissement de l'installation (pannes, encrassement, etc.).
Pourcentage de lumière solaire transmise à l'intérieur après avoir traversée une paroie. A distinguer de l'énergie transmise sous forme calorifique.
... lire la suiteLe facteur solaire d'une paroi ou d'un vitrage FS ou g : est la fraction de l'énergie solaire qui traverse la paroi ou le vitrage par rapport à l'énergie incidente. Cette valeur donne le niveau de protection que le vitrage peut offrir durant l'été, et le niveau de d' « absorption » d'énergie possible durant l'hiver. Le facteur g caractérise aussi la capacité d'une protection solaire à limiter les surchauffes. Plus le facteur solaire souhaité est faible plus la transmission lumineuse du vitrage sera faible [sans unité]. La combinaison de la valeur g de la protection solaire et du vitrage donne une valeur g combinée de cette combinaison vitrage + protection solaire.
Fraction [%] de l'énergie solaire qui traverse la paroi ou le vitrage par rapport à l'énergie incidente.
... lire la suiteAngle rentrant pratiqué le long de l'arête d'un profilé de châssis pour accueillir un vitrage. On distingue les feuillures ouvertes où le vitrage est retenu par un solin de mastic et les feuillures fermées où le vitrage est maintenu par des parcloses.
Communauté de micro-organismes (bactéries, champignons, algues, etc.) adhérant entre eux et à une surface, caractérisée par la sécrétion d'une matrice adhésive et protectrice. Il se forme généralement dans l'eau ou en milieu aqueux. Les biofilms permettent aux bactéries abritées dans ce milieu de proliférer et de mieux résister aux sollicitations externes.
... lire la suiteFiltre formé de lamelles inclinées qui favorisent la flottaison des hydrocarbures. Après passage dans le filtre, de bas en haut, les hydrocarbures vont former un film en surface.
Capacité d'un espace à s'adapter à l'évolution des besoins et des usages de ses occupants.
Fluide permettant la mise en place d'un cycle thermodynamique en vue d'une production de chaud (PAC) ou de froid (groupe frigorifique).
Flux échangés avec l'écosphère : matières premières, déchets remis dans l'environnement et émissions.
Quantité de lumière rayonnée par une source lumineuse dans toutes les directions, exprimées en [lm].
Partie perpendiculaire au plan du vitrage de l'angle formé par la feuillure.
Label garantissant la gestion responsable des forêts dont provient le bois. La certification FSC porte sur la zone forestière, ainsi que sur le contrôle des entreprises à chaque étape de la transformation et de la commercialisation du produit final certifié. Les critères d'évaluation sont sociaux, environnementaux et économiques. Un contrôle externe est effectué par des organisations accréditées par Accreditation Services International (ASI)
... lire la suiteComposé organique très volatil (COV) de la famille des aldéhydes. De faible poids moléculaire, il devient gazeux à température ambiante et se retrouve actuellement fréquemment dans les environnements intérieurs. Irritant pour les yeux, le nez et la gorge, il a été classé cancérogène, en 2005, par l'Organisation mondiale de la Santé.
... lire la suiteLe free chilling consiste à refroidir l'eau d'un circuit de refroidissement par échange direct avec une ambiance dont la température est inférieure à celle de l'eau (air extérieur, nappe phréatique, sol,...), sans faire usage d'une machine de froid.
... lire la suiteTechnique de refroidissement passif où l'air frais ventile un local ou un bâtiment, en supplément de la ventilation hygiénique (avec ou sans support mécanique). L'air frais supplémentaire est introduit dans le bâtiment et le sentiment de rafraichissement dû à la circulation de l'air est augmenté.
Nombre de crêtes d'onde qui passent un certain point par seconde. Une vibration par seconde équivaut à un hertz [Hz].
Fréquence à laquelle l'isolation phonique d'une paroi chute, pouvant entrainer une gêne auditive. Cette fréquence dépend des matériaux et de l'épaisseur de la paroi.
Les cloisons légères constituées de deux parois et d'un noyau en matériau isolant souple présentent une fréquence de résonance donnée par la relation : où d est la distance entre les 2 parois et m''1 et m''2 »2 leur masse. A cette fréquence de résonance se produit également une baisse du niveau d'isolation de la paroi. Une bonne conception de paroi (pour une maison ou un bâtiment) veillera à garantir que la fréquence masse-ressort-masse est en-dessous de 80Hz Pour un studio d'enregistrement, les contraintes acoustiques étant plus critiques, on visera une fréquence masse-ressort-masse en-dessous de 60Hz.
Document électronique servant à prouver au client final qu'une part de l'énergie a été produite à partir de sources renouvelables, en vertu de la Directive 2009/28/CE.
Gaz présents dans l'atmosphère qui absorbent le rayonnement infrarouge émis sur la surface terrestre et contribuent à l'effet de serre. La vapeur d'eau (H2O), le dioxyde de carbone (CO2), l'hémioxyde d'azote (N2O), le méthane (CH4) et l'ozone (O3) sont les principaux gaz à effet de serre.
... lire la suiteGaz dont la molécule est formée d'un atome de carbone et deux atomes d'oxygène. Il est produit en cas de combustion de produits contenant du carbone (bois, pétrole, gaz, charbon, sucre...) C'est un puissant gaz à effet de serre.
Gaz produit à partir de déchets organiques et dont la purification accrue permet d'atteindre le même dégré de concentration en méthane que le gaz naturel. A ce titre, il peut être injecté dans le réseau de gaz naturel.
Récupération et utilisation de la chaleur naturelle de la Terre pour des applications thermiques ou électriques.
... lire la suiteUtilisation de techniques extensives pour assurer l'épuration des eaux usées produites par un site, basées sur la transformation et l'assimilation des polluants domestiques par les chaînes alimentaires aquatiques dans des bassins étanches plantés.
... lire la suitePratique de gestion regroupant des techniques telles que le choix d'espèces végétales indigènes, le désherbage restreint et sans pesticides, la prairie fleurie, la haie libre, etc. qui permet de procurer à la faune sauvage des lieux d'accueil spontanés et de la nourriture, tout en favorisant l'harmonie avec les cycles naturels.
Système informatique généralement installé dans de grands bâtiments ou dans des installations industrielles pour superviser l'ensemble des équipements installés. Il permet d'améliorer la performance énergétique du bâtiment en réalisant des économies d'énergies
Système de pilotage des installations techniques d'un bâtiment permettant de centraliser les informations. Un système de visualisation complémentaire permet de faciliter le contrôle des paramètres de fonctionnement de l'installation.
Potentiel de réchauffement d'un gaz émis dans l'atmosphère, exprimé en comparaison du potentiel du dioxyde de carbone, sur une période déterminée et pour la même masse. Un gaz à effet de serre avec un GWP de 280 sur 100 ans réchauffera 280 fois plus l'atmosphère que la même masse de CO2 sur une période de 100 ans.
Petite gorge pratiquée au-dessous de la partie saillante d'un jet d'eau pour empêcher l'eau de pénétrer à l'intérieur.
Milieu, caractérisé par des éléments abiotiques et biotiques spécifiques, où vit une espèce à l'un des stades de son cycle biologique.
Forme d'habitat collectif qui propose un environnement de vie pour une ou plusieurs personnes, n'ayant entre eux aucun autre lien de parenté, dont une au moins est socialement vulnérable ou risque de le devenir. L'ensemble comprend en général un ou plusieurs espaces communs.
... lire la suiteRapport entre les facteurs lumière du jour minimum et moyen sur l'ensemble d'un local, exprimé en [%].
Situation où des cellules photovoltaïques qui reçoivent peu ou pas de rayonnement lumineux sont montées en série avec d'autres. Cela peut conduire à une surchauffe de la cellule et à sa destruction. Des mesures thermographiques permettent de détecter ces points chauds.
Certification française visant à limiter, à court et long terme, les impacts environnementaux d'une opération de construction ou de réhabilitation, tout en assurant aux occupants des conditions de vie saine et confortable.
Quantité d'eau présente dans l'air exprimée en [g/Kg] d'air. Plus un air est chaud, plus il peut contenir de vapeur d'air avant d'atteindre sa limite de saturation. Une même valeur d'humidité absolue correspondra donc à des humidités relatives différentes selon la température de l'air.
Rapport entre la quantité d'eau contenue dans l'air à une température donnée et la quantité maximale d'eau qu'elle pourrait contenir à la même température. Exprimée en [%], elle indique la capacité de l'air à absorber encore de l'eau.
Il s'agit de molecules constituée d'atomes de carbone et d'hydrogène. Ils présentent une forte toxicité (cancérogènes). On compte parmis eux le naphtalène, le fulorène, de benzopyrène, etc.
Technique de séparation utilisant la force centrifuge pour trier, à la source, les matières solides et les liquides. Appliquée en épuration des eaux usées, cette technique permet de séparer les matières fécales (dont le papier toilette) de l'eau. Par un effet de tension superficielle, l'eau suit la courbure du séparateur, tandis que les matières tombent au centre dans un bac à (pré)compostage.
Ensemble des modifications qualitatives, quantitatives et fonctionnelles, positives ou négatives, de l'environnement engendrées par un projet, un processus, un procédé, un organisme ou un produit, de sa conception à sa fin de vie.
... lire la suiteElément supérieur vitré du châssis, généralement étroit et qui peut être ouvrant ou non.
L'indicateur de surchauffe, exprimé en Kh (kelvin-heure). Cet indicateur représente les gains solaires non utilisables, ou en particulier les gains solaires non emmagasinés dans la construction. Plus ce chiffre est élevé, plus le risque d'inconfort dû à la surchauffe augmente.
La soixantaine de paramètres qui déterminent la potabilité de l'eau, dont les plus importants parmi ceux analysés pour garantir la qualité de l'eau de distribution en Europe : o Paramètres microbiologiques [nombre/100 ml] : Escherichia coli (E. Coli), Entérocoques, teneurs en colonies à 22°C,… o Paramètres chimiques [?g/l] : • Métaux lourds : arsenic, plomb, cadmium, chrome, cuivre, mercure, nickel, sélénium, zinc, fer, manganèse, aluminium,… • Pesticides • Hydrocarbures • Fluorures • Cyanures • Nitrates et nitrites • chlorures o Paramètres indicateurs de qualité : • couleur, odeur, saveur, turbidité,… • conductivité • radioactivité • ammonium • sodium • sulfates • carbone organique total = nutriment pour les microorganismes • etc. o Autres paramètres à contrôler : légionelles (legionella), cyanobactéries (source de toxines), tec.
Paramètres qui déterminent la qualité de l'eau de pluie, notamment : l'acidité [pH], la dureté, l'oxydabilité, la demande biochimique en oxygène et la demande chimique en oxygène, la qualité bactériologique, la conductivité, l'indice de coloration, etc. Tous ces éléments permettent de choisir des équipements adaptés à la situation. Voir aussi Demande Biochimique en Oxygène (DBO) et Demande Chimique en Oxygène (DCO)
Permettent de caractériser l'atténuation acoustique d'un matériau. L'indice Rw+C concerne les sons à hautes et moyennes fréquences (jeux d'enfants, trafic routier rapide, etc.) et l'indice Rw+Ctr les basses et moyennes fréquences caractéristiques des nuisances sonores les plus courantes en milieu urbain (trafic routier lent, bruit de discothèque, etc.). Plus l'indice est élevé, plus le matériau est isolant en terme acoustique.
S'obtient par comparaison, à l'aide de méthodes colorimétriques, entre la couleur apparente de l'eau, influencée par les matières en suspension, et la couleur réelle (ou vraie) obtenue après la filtration de l'échantillon sur filtre cellulosique.
L'indice de rendu de couleur d'un vitrage (RA) caractérise la modification de la couleur par la vue à travers le vitrage. Un vitrage avec un RA de 100% ne modifie pas les couleurs.
Prédit la valeur moyenne des votes d'un grand groupe de personnes sur une échelle de sensation thermique à 7 points ( de très chaud à très froid). Il est basé sur l'équation du bilan thermique et est déterminé en fonction du métabolisme, de l'isolement vestimentaire et paramètres climatiques. Il est décrit par la norme ISO 7730.
L'indice PPD (Predicted Percentage of Dissatisfied), décrit par la norme ISO 7730, prédit le pourcentage de personnes insatisfaites car trouvant l'ambiance thermique trop chaude ou trop froide, sur base de l'échelle de sensations thermiques.
Mesure quantitative de l'éblouissement en fonction de la disposition des appareils d'éclairage, des caractéristiques du local (dimensions, réflexions) et du point d'observation des occupants.
Elévation localisée de la température en milieu urbain par rapport aux zones rurales voisines, due à l'urbanisme (matériaux absorbant la chaleur, pertes thermiques dues à l'évaporation de l'eau très inférieures à celles des zones vertes, etc.) et aux activités humaines (installations de refroidissement, circulation automobile, ect.).
Indicateur de bruit représentant le niveau annuel moyen sur 24h00 évalué à partir des niveaux moyens de journée (Lday : 07h00-19h00), de soirée (Levening : 19h00-23h00) et de nuit (Lnight : 23h00-07h00). Les niveaux moyens de soirée et de nuit étant augmentés d'une pénalité par rapport au niveau de jour.
... lire la suiteL'indice de vitrage est le rapport de la surface d'ouverture - moins l'épaisseur des menuiseries - à la surface de la pièce.
Capacité d'un matériau à absorber l'humidité et à amortir la variation de l'humidité relative de l'air ambiant. Certains matériaux hygroscopiques (bois et dérivés du bois, plâtre, enduits de type chaux-chanvre, terre crue, etc.) permettent de réguler naturellement l'humidité ambiante intérieure dans le bâtiment, en captant l'humidité en excès pour la restituer plus tard, atténuant ainsi les effets désagréables d'ambiances trop sèches.
Capacité d'un matériau à accumuler de la chaleur ou de la fraicheur, puis à la restituer. Elle permet d'obtenir un déphasage thermique (décalage dans le temps) par rapport aux températures extérieures et d'aplanir les pics de température, de jour comme de nuit. L'inertie thermique d'une paroi est surtout déterminée par les propriétés des couches superficielles.
... lire la suiteQualité d'un sol ou d'un sous-sol à laisser pénétrer l'eau.
... lire la suiteIntroduction d'air dans le bâtiment due à des problèmes d'étanchéité de l'enveloppe : matériaux poreux en contact avec l'extérieur, défauts de construction (joints de maçonnerie mal fermés, joints d'étanchéité entre la maçonnerie et les châssis défectueux, etc.), fuite des châssis de portes et de fenêtres entre l'ouvrant et le dormant .
... lire la suiteProduits phytopharmaceutiques composés de substances chimiques, utilisés sur les bois pour lutter contre les ravageurs et les champignons. Les produits de traitement du bois peuvent être limités par un choix d'essence adéquat.
... lire la suiteLes activités, équipements ou produits qui peuvent avoir un impact sur l'environnement et le voisinage sont, suivant leur nature et l'importance du danger ou des perturbations qu'elles représentent, répertoriées sur une liste officielle reprenant l'ensemble des installations dites "classées".
... lire la suiteDispositifs de collecte des eaux pluviales et d'acheminement vers un réservoir de stockage (citerne) ainsi que des équipements liés au stockage dans la citerne (filtre, trop-plein, aérateur, etc.) et à la redistribution (pompes, filtre, réseau, etc.). L'installation doit être conçue pour assurer que la qualité de l'eau de pluie récoltée soit maintenue, voire améliorée, avant son utilisation.
Grandeur qui exprime la capacité à éclairer d'une source ponctuelle de lumière dans une direction donnée, exprimée en [cd].
Elément assurant l'espace entre les vitres d'un vitrage double ou triple.
Aptitude d'un système de transport à permettre l'utilisation successive d'au moins deux modes, intégrés dans une chaîne de déplacement
Famille de normes de systèmes de management environnemental qui donne des outils pratiques aux entreprises et organisations qui souhaitent identifier et maîtriser leur impact sur l'environnement et améliorer leur performance environnementale.
... lire la suiteNorme qui définit un cadre de gestion de l'environnement, sans intégrer d'exigences minimales ni d'exigences sociales, économiques, de qualité, de santé ou de communication. L'organisation concernée doit fournir un engagement en termes d'amélioration continue et de fonctionnement de l'entreprise en faveur de l'environnement.
... lire la suiteNorme qui spécifie les exigences relatives aux autodéclarations environnementales, y compris les mentions, symboles et graphiques concernant les produits. Elle décrit également des termes choisis en précisant leur utilisation et présente une méthodologie générale d'évaluation et de vérification des autodéclarations environnementales.
... lire la suiteNorme spécifiant les principes et le cadre applicables à la réalisation d'une analyse du cycle de vie (ACV).
... lire la suiteNorme qui spécifie les exigences et fournit les lignes directrices pour la réalisation d'analyses du cycle de vie (ACV).
... lire la suiteIsolement acoustique standardisé pondéré du pan de façade, augmenté du terme d'adaptation pour le bruit du trafic urbain (en dB).
Isolement acoustique standardisé pondéré entre deux locaux pour les bruits aériens (en dB).
Elle se focalise sur les nuisances sonores directement liées aux impacts (ex. : bruit de pas sur un plancher). L'indicateur unique L'nT,w (dB) est obtenu à partir du spectre de niveau de réception normalisé L'nT mesuré in situ avec une machine à chocs. Plus le niveau est faible, mieux c'est.
Traverse inférieure de l'ouvrant destinée à rejeter les eaux de pluie vers l'extérieur.
Mesure de la puissance thermique d'une installation de cogénération.
Mesure de la puissance électrique d'une installation de cogénération.
Label de référence européen pour la certification des performances énergétiques de matériel de climatisation et de réfrigération.
... lire la suite(ou LCC) Méthodologie d'identification des coûts et profits financiers d'un produit ou d'un service, permettant de comparer mutuellement les coûts d'investissement, de gestion, d'entretien et de fin de vie (démantèlement, déconstruction, démolition). Est couramment réalisé pour deux périodes, une plus courte (de 20 ou 30 ans) et une plus longue (de 50 ou 60 ans), afin d'évaluer les effets à moyen et long terme.
Logement conçu pour accuellir simultanément des ménages jeunes et âgés afin de développer des solidarités inter-générationnelles d'entraide et de coopération.
Loi d'isolation phonique selon laquelle plus la masse augmente, plus l'indice d'affaiblissement acoustique d'une paroi est important.Si la masse double, l'indice d'affaiblissement de la paroi augmente de 4dB.
Rapport entre l'intensité lumineuse émise dans une direction et la surface apparente de la source lumineuse dans la direction considérée. S'exprime en [cd/m²]. Elle traduit la sensation visuelle de luminosité créée par une source lumineuse principale (le soleil, le ciel, etc.) ou par une source de lumière secondaire (toute surface éclairée.)
Unité d'expression du niveau d'éclairement. Un lux est l'éclairement d'une surface qui reçoit, d'une manière uniformément répartie, un flux lumineux d'un lumen par m²
Programme mis en place depuis 1999 par la Région de Bruxelles-Capitale pour remettre en valeur l'eau et les zones humides sur son territoire.
... lire la suiteProgramme d'aménagement du territoire de la Région de Bruxelles-Capitale fondé sur la protection ou la création d'espaces verts et l'établissement de liens physiques entre eux, afin de préserver le patrimoine naturel régional, favoriser l'accroissement de la biodiversité, rééquilibrer les disparités régionales en matière de verdurisation, améliorer les qualités paysagères et promouvoir la mobilité douce.
Personne, morale ou physique, publique ou privée, propriétaire ou bénéficiaire d'un patrimoine immobilier, commanditaire d'un projet de rénovation ou de construction. Il effectue la programmation des opérations en raisonnant sur base du coût global sur la durée de vie du patrimoine. Il peut confier la conduite d'opération à un prestataire.
Principe consistant à utiliser des parois doubles désolidarisées et séparées par un noyau en matériau isolant souple qui absorbe et dissipe l'énergie sonore.
... lire la suiteGrandeur physique qui caractérise la masse d'un matériau par unité de volume en [kg/m³].
Se dit d'une substance ou d'un matériau qui a tendance à absorber l'humidité de l'air.
Matières premières issues de l'élevage d'animaux. Dans le cas des isolants thermiques, on retrouve sous cette dénomination les poils de mammifères et les plumes et duvets d'oiseaux.
Matières premières issues de l'extraction de minerais naturels, formées naturellement ou synthétisées artificiellement.
Matières premières obtenues à partir de composés chimiques issus du pétrole.
Matières premières, d'origine animale ou végétale, qui se régénèrent sans cesse dans des cycles relativement courts.
Matières premières issues de cultures (comme le chanvre ou le lin) ou de plantations (bois, liège, etc.), ainsi que les matières premières recyclées originellement issues d'une culture ou d'une plantation (comme le papier recyclé ou le textile recyclé) et les sous-produits d'activités de production à partir d'une matière première végétale (par exemple, les déchets d'une scierie de bois).
Mécanisme de financement par lequel une entité (administration, entreprise, particulier) substitue, de manière totale ou partielle, une réduction à la source de ses propres émissions de gaz à effet de serre par une quantité équivalente de « crédits carbone », en les achetant auprès d'un tiers. Le principe sous-jacent est qu'une quantité donnée de CO2 émise dans un endroit peut être «compensée » par la réduction ou la séquestration d'une quantité équivalente de CO2 en un autre lieu.
... lire la suiteSolutions architecturales ou techniques qui permettent d'améliorer la performance énergétique d'un bâtiment et le confort de ses usagers sans consommation d'énergie.
... lire la suiteEmission de chaleur d'un être vivant, exprimée en MET. 1 MET équivaut à 58,2 W et correspond à la quantité de chaleur produite par m² de surface corporelle par une personne moyenne au repos.
... lire la suiteEléments métalliques naturels, ou éléments traces métalliques, caractérisés par une masse volumique élevée, comme le plomb, le cadmium, le mercure, le cuivre ou l'arsenic. Leur caractère persistant signifie qu'ils ne se dégraderont jamais, ni dans l'environnement, ni lors de la transformation de produits alimentaires, ni dans le corps même si celui-ci en élimine une partie.
Micro-réseau électrique intelligent conçu pour fournir un approvisionnement électrique fiable et de meilleure qualité aux consommateurs connectés à ce dernier. Il est alimenté par des petites installations de production ou de stockage (cogénération, photovoltaïque, pile à combustible, etc.) et peut être raccordé au réseau de distribution électrique.
Milieu caractérisé par une forte présence de l'environnement construit par rapport à l'environnement naturel. La densité peut s'apprécier à l'échelle de l'îlot, du quartier ou de la parcelle.
... lire la suiteLabel environnemental néerlandais général, fondé en 1992, géré par la Stichting Milieukeur. Ce label comprend des critères écologiques, qualitatifs relatifs à la santé et à l'étiquetage. Il ne comprend pas de critères économiques et sociaux. Il s'appuie sur une analyse complète de cycle de vie, du berceau à la tombe, mais ne prend pas en compte le transport entre le site de production et celui de la mise en œuvre.
... lire la suiteFait de disposer sur un territoire de l'ensemble des fonction nécessaire à la vie en ville (logements, commerces, équipements administratifs, culturels,...).
Désigne la présence simultanée ou la cohabitation dans une même zone géographique de personnes issues de catégories socio-professionnelles différentes (niveau de vie, cultures et/ou origines nationales).
... lire la suiteEnsemble des modes de déplacement sans moteur : marche à pied, vélo, rollers, skate, trottinette, etc.
Combinaison des formes de mobilité active à des moyens de transports motorisés (par exemple, les transports en commun) ou assistés (par exemple, le vélo à assistance électrique) pour parcourir des grandes distances. On parle également de modes doux.
Prototype grandeur nature d'un élément de bâtiment (souvent de façade) sur lequel peuvent être réalisés, avant la mise en production des éléments définitifs, les tests de qualité, notamment les tests d'étanchéité.
Présence de micro-organismes au développement filamenteux (mycélium). Les spores de moisissures existent naturellement dans l'air et prolifèrent dans un environnement tempéré (entre 2 et 40 °C) et humide, en présence d'un élément organique (fruits, légumes et autres aliments, livres, tapis, vêtements, bois, plâtre enduit de colle...).
Exprime le nombre de volume d'air d'un espace renouvelé par heure, à une différence de pression de 50 Pa entre l'intérieur et l'extérieur. Se calcul sur l'ensemble du volume testé. Exprimé en [1/h].
... lire la suiteRéseau de sites naturels ou semi-naturels ayant une grande valeur patrimoniale liée à la faune et à la flore, composé de l'ensemble des zones spéciales de conservation et des zones de protection spéciale désignées par les Etats membres de l'Union européenne.
Label environnemental spécifiquement orienté vers les produits de construction, établi en 2001, et géré par Natureplus Internationaler Verein für Zukunftsfähiges Bauen und Wohnen, représenté en Belgique par l'asbl VIBE. Les critères écologiques de Natureplus sont nombreux et le niveau d'exigence est particulièrement élevé. La part des matières premières renouvelables doit représenter au moins 85% du contenu du produit fini. Natureplus intègre également des critères sociaux.
... lire la suiteVentilation intensive de nuit au moyen d'air frais extérieur. Cette ventilation intensive refroidit la masse thermique du bâtiment et permet une restitution progressive du froid à l'ambiance durant la journée.
Niveau de pression acoustique, exprimé en [dB(A)] lorsque la source sonore considérée est à l'arrêt.
Niveau de pression acoustique propre à la source sonore considérée, exprimé en [dB(A)].
... lire la suiteNiveau de pression acoustique, exprimé en [dB(A)], lorsque la source sonore considérée est en fonctionnement et incluant l'ensemble des bruits environnants.
Le niveau K est le niveau d'isolation thermique globale d'un bâtiment. Il dépend des caractéristiques d'isolation thermique des parois extérieures, et de la compacité du bâtiment, c'est-à-dire le rapport entre le volume et la surface de déperdition.
Niveau de pression acoustique (L Aeq T) en l'absence de fonctionnement de la source de bruit investiguée.
Niveau sonore dans les locaux techniques LAinstal,nT (dB) : Les installations techniques ne doivent pas générer un niveau sonore dans les locaux techniques LAinstal,nT (dB) au-delà d'un certain seuil ni générer de dépassements (LASmax,T – LAeq,T) du niveau de bruit de fond (LAeq,T) dans les pièces de vie.
Désigne les endroits où les parois de l'enveloppe du volume protégé se rejoignent (jonction) et les endroits où la couche isolante est interrompue localement, linéairement ou ponctuellement (acrotères, fondations, raccords aux fenêtres,…). En cet endroit, le flux de chaleur peut être particulièrement dense, ce qui se traduit par des températures de surface plus basses que sur le reste de la paroi. Cela peut engendrer une sensation de paroi froide. Il s'agit donc d'une source d'inconfort thermique. Ils peuvent être de deux formes : • Linéaires : lorsque la perte thermique se fait le long d'une jonction de deux éléments du bâtiment. Exemple : un pied de mur non isolé alors que le reste du mur l'est ; • Ponctuels : lorsqu'un mur isolé est perforé par un élément avec une conductivité thermique élevée ou dans des angles de bâtiments. Exemple : la jonction entre deux murs et le sol, ou au niveau d'un ancrage qui traverse une paroi isolée. Le risque de condensation au droit d'un nœud constructif est dû à la combinaison de deux facteurs : • une température de surface de la paroi trop basse; • une humidité absolue de l'air intérieur trop élevée.
Label environnemental officiel des pays scandinaves (Norvège, Suède, Finlande, Danemark et Islande), géré par diverses instances, selon le pays concerné. Ce label comprend des critères écologiques, qualitatifs, relatifs à la santé et à l'étiquetage et s'appuie sur une analyse complète de cycle de vie, du berceau à la tombe. Mais il ne prend en compte ni le transport entre le site de production et celui de la mise en œuvre. ni des critères économiques et sociaux.
... lire la suiteMilieu urbain caractérisé par une densité importante d'habitat et par un nombre élevé de fonctions qui s'organisent en son sein (activités sociales, culturelles, secondaires, tertiaires importantes).
L'ensemble des conditions auxquelles doit répondre une unité PEB et/ou une installation technique en matière de performance énergétique, d'isolation thermique, de climat intérieur, et de ventilation.
... lire la suite(moins de 30 kHz) Parmi les ondes de très basse fréquence on distingue • Les ondes de fréquence extrêmement basses émise notamment par les lignes électriques à haute tension, les transformateurs, les câbles souterrains, les voies ferrées, les éclairages publics, les câbles d'alimentation des tramways ou tout autre fil ou appareil électrique. • Les ondes de très basse fréquence émises par les écrans vidéo mais aussi par les plaques de cuisson à induction Exemple lignes électriques 50Hz Contrairement aux ondes très haute fréquence, ces rayonnements ne sont pas capables de fragmenter les molécules en ions. On dit qu'ils sont non ionisants.
Résultat de la vibration couplée d'un champ électrique et d'un champ magnétique variables dans le temps. Certaines sont d'origine naturelle (foudre, lumière, etc.) d'autres produites par le activités humaines (radiodiffusion, radiologie, etc.).
... lire la suiteOndes électromagnétiques émises par les système de radio transmission sans fil, les GPS, les télévisions par câbles et satellites, les micro-ondes, le Wifi, les téléphones mobiles... Contrairement aux ondes très haute fréquence, ces rayonnements sont non ionisants.
Ondes électromagnétiques capables de fragmenter les molécules en ions : rayons UV, rayons X, rayons gamma, etc. Des rayonnements ionisants à forte dose peuvent induire des mutations génétiques.
L'ordonnance relative à la performance énergétique et au climat intérieur des bâtiments (OPEB) distingue 3 volets : • Le volet "travaux PEB", lors de travaux soumis à permis d'urbanisme et/ou d'environnement ; • Le volet "certification PEB"; • Le volet "installations techniques PEB", pour toute installation centralisée de chauffage ou de climatisation.
... lire la suiteProfilé qui maintient le vitrage dans la feuillure via des garnitures d'étanchéité.
Paroi extérieure peu ou pas isolée, émettant un rayonnement froid, les rendant inconfortables pour l'occupant.
Se dit d'un nœud constructif ou d'un matériau lorsqu'il répond aux normes du certificat de performance énergétique des bâtiments (PEB).
Temps statistique d'occurrence d'une pluie d'intensité moyenne et de durée données. On parlera, par exemple, de pluies décennales pour les épisodes de pluies qui, statistiquement, se présentent environ une fois tous les dix ans en un endroit donné.
... lire la suiteCapacité du sol à laisser s'infiltrer l'eau. La perméabilité d'un sol dépend de sa texture, de sa structure, de la saturation en eau, etc.
Autorisation liée à l'exploitation d'une installation classée (« incommode, insalubre et dangereuse ») et qui contient des obligations ayant pour objectif d'assurer la protection contre les dangers, nuisances ou inconvénients, qu'une installation ou activité est susceptible de causer, directement ou indirectement, à l'environnement, la santé ou la sécurité de la population.
Personne gênée dans ses mouvements en raison de sa taille, de son état, de son âge, de son handicap permanent ou temporaire, ainsi qu'en raison des appareils ou instruments auxquels elle doit recourir pour se déplacer.
Technique de dépollution basée sur l'utilisation de plantes. En conjonction avec les micro-organismes du sol, les végétaux stockent certains polluants en réduisant leur mobilité (phytostabilisation), les absorbent (phytoextraction), les fixent dans leurs tissus (phytostabilisation) ou les métabolisent, permettant leur détoxification et leur élimination (phytodégradation).
Traverse inférieure du dormant.
Correspond à la hauteur à laquelle la pression est la même à l'intérieur et à l'extérieur du bâtiment, lorsqu'il n'y a pas ou presque pas de vent. Au-dessous du plan neutre de pression, l'écart de pression fait pénétrer l'air dans le bâtiment (dépression) ; au-dessus, il l'expulse au dehors (surpression).
... lire la suitePlan régional adopté en 2001 qui détermine l'affectation générale des différentes zones du territoire de la Région et les mesures d'aménagement des principales voies de communication.
Modification partielle du Plan Régional d'Affectation du Sol (PRAS) décidée en 2011 pour répondre au nouveau défi démographique auquel la Région doit faire face et qui induira une demande croissante de logements et ses corollaires.
Plan régional d'orientation adopté en 2002 qui fixe les objectifs et priorités de développement de la Région, requis par les besoins économiques, sociaux, de déplacement et d'environnement. Depuis la réforme législative du 16 juillet 1998, ce plan ne contient plus de dispositions réglementaires relatives à l'affectation du sol.
Révision du Plan Régional de Développement, lancée en 2009, pour fixer les objectifs et priorités de développement de la Région dans une démarche de développement durable.
Point d'utilisation de l'eau chaude sanitaire par les usagers.
Essentiellement le monoxyde de carbone (CO), le dioxyde de carbone (CO2) et les oxydes (SO2 et Nox).
Pollution régulière des eaux de ruissellement en milieu urbain au niveau particulaire.
Pollution liée à la présence de bactéries et de virus, essentiellement d'origine fécale et provenant principalement des eaux usées et des élevages agricoles.
... lire la suitePollution chimique provoquée par les polluants carbonés, comme la matière organique (lisier, boues d'épuration, etc.), les organochlorés (DDT) ou encore les polychlorobiphényles (PCB).
... lire la suitePollution liée à la présence de sels (chlorures et sulfates) quantifiée en mesurant les quantités d'azote et de phosphore présentes dans l'eau, qui proviennent en grande partie des matières organiques complexes (déchets alimentaires, matières fécales, etc.). Le phosphore provient également de certains produits de nettoyage, détergents et produits de vaisselle.
... lire la suiteDispositif ou installation qui prélève une quantité de chaleur d'une source à basse température (côté froid) – par exemple la nappe phréatique, l'eau en surface, le sol, l'air extérieur, et qui restitue cette chaleur à une température plus élevée (côté chaud) en la compressant pour la fournir au bâtiment. La pompe à chaleur est caractérisée par son coefficient de performance, quotient de la chaleur utile fournie et de l'ensemble de l'énergie consommée.
Terme qui n'est volontairement plus utilisé dans la réglementation afin d'éviter la connotation négative qui y est attachée. C'est la raison pour laquelle le terme nœud constructif a été introduit.
Catégorie de matière première reprise dans la définition de «contenu recyclé » par la norme ISO 14021. On entend par « post-consumer material » : les matières générées par des flux sortants des ménages, commerces, industries en tant qu'utilisateurs finaux du produit, et qui ne sont plus utilisables dans le cadre de leur destination initiale. Ceci comprend également les retours des chaines et flux de vente et distribution.
Cette solution bien qu'intéressante au premier abord doit être relativisée : aller jusqu'à la potabilisation de l'eau de pluie n'est pas recommandé en Région de Bruxelles-Capitale. En effet, l'eau du réseau public de distribution dispose de garanties de qualité et de contrôle stricts alors que la potabilisation de l'eau de pluie d'une citerne individuelle n'offre pas les garanties de suivis, d'entretien et de contrôle suffisant pour le maintien de la qualité de l'eau : risque sanitaire important, par exemple, si les filtres utilisés ne sont pas remplacés ou entretenus suffisamment régulièrement. Certains procédés de filtration ou de potabilisation de l'eau même s'ils paraissent intéressants pour garantir la qualité hygiénique de l'eau et ainsi augmenter les postes couverts par l'eau de pluie, peuvent entrainer un rejet d'eau plus ou moins important d'eau. Il faut donc s'assurer que chaque mesure d'économie d'eau ou de maintien de la qualité de l'eau n'est pas contre-productive. La potabilisation ne doit donc être réservé qu'à certains cas particuliers : • Dans les projets où l'autonomie en eau potable est indispensable : bâtiments non raccordés au réseau collectif de distribution d'eau (rares en Région de Bruxelles-Capitale) ; • Dans les bâtiments disposant d'un potentiel important d'approvisionnement en eau alternative (par exemple, l'eau de pluie) par rapport aux besoins et dans lesquels, les dérives induites par la potabilisation sont corrigées.
La soixantaine de paramètres qui déterminent la potabilité de l'eau, dont les plus importants parmi ceux analysés pour garantir la qualité de l'eau de distribution en Europe : Paramètres microbiologiques [nombre/100 ml] : Escherichia coli (E. Coli), Entérocoques, teneurs en colonies à 22°C,… Paramètres chimiques [?g/l] : • Métaux lourds : arsenic, plomb, cadmium, chrome, cuivre, mercure, nickel, sélénium, zinc, fer, manganèse, aluminium,… • Pesticides • Hydrocarbures • Fluorures • Cyanures • Nitrates et nitrites • chlorures Paramètres indicateurs de qualité : • couleur, odeur, saveur, turbidité,… • conductivité • radioactivité • ammonium • sodium • sulfates • carbone organique total = nutriment pour les microorganismes • etc. Autres paramètres à contrôler : légionelles (legionella), cyanobactéries (source de toxines), tec.
Le potentiel adiabatique désigne la possibilité de refroidissement adiabatique de l'air. Le refroidissement adiabatique fonctionne selon le principe du refroidissement de l'air par évaporation d'eau. Plus la quantité d'eau pouvant être évaporée dans l'air est grande, plus le potentiel adiabatique est élevé. Si l'humidité relative de l'air est élevée, son potentiel adiabatique est par conséquent faible. Si l'humidité relative de l'air est faible (par exemple, 45 %), son potentiel adiabatique est élevé. Par ailleurs, dans le cadre du refroidissement adiabatique indirect, la température de l'air évacué ne peut prendre de la chaleur que si celle-ci peut être refroidie jusqu'à un niveau inférieur à la température de l'air fourni. (La température la plus basse qui peut théoriquement être atteinte dans l'air rejeté est la température du thermomètre mouillé.) Étant donné que le refroidissement adiabatique indirect répète ce processus de refroidissement en continu dans l'échangeur de chaleur à plaques, le potentiel du refroidissement adiabatique indirect dans l'échangeur de chaleur à plaques est supérieur à celui du refroidissement indirect avant l'échangeur de chaleur à plaques.
Le potentiel hydrogen permet de mesurer l'acidité ou la basicité d'une solution. Le pH de l'eau pure à 25°C, qui est égal à 7, a été choisi comme valeur de référence d'un milieu neutre.
Catégorie de matière première reprise dans la définition de «contenu recyclé » par la norme ISO 14021. On entend par « pre-consumer material » : les matières écartées des flux de déchets pendant les procédés de fabrication. Sont exclus : toutes les matières dont la réinsertion dans le procédé de production qui les a générés est possible mais n'est pas rendue effective.
Dépollution partielle de l'eau réalisée avant de la déverser dans un dispositif de gestion de l'eau. Les dispositifs de pré-traitement sont les grilles, décanteurs, filtres et séparateurs d'hydrocarbures.
Introduction dans le tissu ligneux, plus ou moins profondément, d'un agent répulsif ou biocide qui va éviter le développement de champignons ou de larves lignivores
Production commune d'énergie destinée à plusieurs consommateurs finaux
Production individuelle d'énergie destinée à un consommateur final.
Le profil de puisage correspond à la quantité d'eau chaude sanitaire puisée dans le bâtiment.
En aluminium ou en bois, ce profilé est généralement utilisé dans le cadre d'une rénovation de châssis, ce qui permet de fixer un double vitrage sur la menuiserie existante et d'améliorer l'étanchéité à l'air, en éviant le remplacement complet de la fenêtre. (http://www.cstc.be/)
(ou PEFC) Organisme coupole international, basé sur la reconnaissance réciproque de différents systèmes nationaux de certification de forêts. 35 systèmes nationaux en sont membre, dont 31 se reconnaissent mutuellement. Ensemble, ils ont jusqu'à présent certifié plus de 245 millions d'hectares de forêts. En termes de superficie forestière certifiée, ce chiffre fait de PEFC le plus important système de certification forestière au niveau mondial, atteignant 70% de la surface totale de forêts certifiées. Actuellement, 289000 hectares de forêts belges sont certifiés. Outre les forêts, le certificat peut également être obtenu pour des produits finis (comme sous FSC). A cette fin, le produit final doit contenir au moins 70% de bois certifié PEFC ou de fibres recyclées. Sur ce point, PEFC se distingue de FSC, où le pourcentage de contenu certifié sur produit fini est de 100%. Les critères d'évaluation sont sociaux, environnementaux et économiques, et uniquement sur la phase « matières premières » (PEFC et FSC diffèrent donc sous cet angle). Un contrôle externe a lieu, l'exploitation ou propriétaire ne respectant pas les exigences est exclu du système.
Le programme d'exigences rassemble le programme de construction et les exigences techniques, basés sur le niveau d'ambition et les objectifs formulés dans la définition du projet.
C'est le chemin parcouru par les ondes émises par la source sonore pour atteindre notre oreille. La vitesse de propagation dépend du milieu dans lequel il se propage. Dans l'air à 20°C, elle est de 340 m/s. Dans un espace acoustiquement ouvert (c'est-à-dire sans obstacle matériel), l'intensité d'un bruit diminue avec l'éloignement de la source sonore. La propagation se fait en champ libre. Dans un environnement construit, un bruit rencontre de nombreux obstacles qui tantôt l'absorbent et tantôt le réfléchissent. Dans un local, le niveau sonore est pratiquement le même en tous points : la propagation se fait en champ diffus.
La puissance d'émission d'une antenne s'exprime en watts (W). Dans la réglementation, il s'agit de la puissance isotrope rayonnée équivalente (PIRE ou EIRP en anglais). La PIRE est le produit de la puissance d'émission réelle par le gain d'une antenne. La grandeur gain indique dans quelle mesure le rayonnement d'une antenne est amplifié dans une direction. Bien que la PIRE soit supérieure à la puissance d'émission réelle, on utilise ce paramètre car c'est un meilleur indicateur de l'impact environnemental d'une antenne d'émission.
Puissance de l'appareil électrique : la puissance de l'appareil électrique peut être assimilée à la chaleur qu'il produit. Toute l'énergie absorbée par l'appareil est en effet convertie en chaleur.
Puissance frigorifique : la puissance frigorifique est la quantité de charge thermique à « refroidir » ou la quantité de puissance frigorifique que le système de refroidissement doit fournir pour obtenir un climat intérieur répondant aux exigences de confort. Dans ce contexte, elle est exprimée en W/m².
Un puits canadien (ou puits provençal) est un conduit ou un réseau de conduits enterré qui sert à aspirer l'amenée d'air du bâtiment. L'air acheminé est ainsi refroidi par le sol.
Des relevés réguliers sont effectués par des climatologues afin d'étudier statistiquement les pluies. De leurs observations et grâce à des modèles d'analyse, ils tirent des tables, dites « IDF » (intensité–durée–fréquence). Elles permettent d'estimer, pour un lieu donné, la probabilité d'un épisode pluvieux d'une certaine intensité pour une durée de temps précise en termes de temps de retour, c'est-à-dire la probabilité qu'un tel épisode pluvieux revienne une fois sur laps de temps donné. Tous les épisodes pluvieux qui ont été observés peuvent se regrouper en « familles » sur base de leur fréquence d'apparition. On parlera des pluies « décennales », c'est-à-dire des pluies qui, statistiquement, se présentent environ une fois tous les dix ans en un endroit donné. Dans ces familles de pluies existent, comme dans toutes les familles, des individus différents : des pluies plus ou moins longues et d'intensité plus ou moins importante. Une pluie extrêmement violente et de très courte durée ne se présentera ni plus ni moins souvent qu'une pluie assez sérieuse mais de durée plus longue.
Gaz radioactif invisible et inodore, formé par l'uranium présent dans le sol et les roches.
Méthode de refroidissement de l'air qui consiste à faire passer de l'air chaud, à l'aide d'une centrale de traitement de l'air, à travers un échangeur humide. L'énergie nécessaire à l'évaporation de l'eau est extraite de l'air chaud, qui en conséquence se refroidit.
Ensemble des ondes électromagnétiques émises par le soleil. Il peut être direct ou indirect, c'est-à-dire diffus ou réfleté par l'environnement. Même une façade au nord est donc concernée, dans une moindre mesure, par les gains solaires.
Règlement de l'Union européenne adopté pour mieux protéger la santé humaine et l'environnement contre les risques liés aux substances chimiques, tout en favorisant la compétitivité de l'industrie chimique. Il encourage également des méthodes alternatives pour l'évaluation des dangers liés aux substances, afin de réduire le nombre d'essais sur animaux.
... lire la suiteEn acoustique, désigne tous les espaces, construits ou non, qui peuvent être impactés par le bruit : habitations (principalement les pièces de repos), classes d'école, lieux de soins et de travail, parcs, places publiques, jardins, rues résidentielles, etc.
Projet 3-Régions initié en 2011-2012 qui n'a toutefois pas encore été lancé, visant à élaborer un système d'évaluation Bâtiment Durable. Cet outil, basé sur la même structure que le Guide Bâtiment Durable, a également pour objectif de soutenir le développement de vision intégrée Bâtiment Durable pour les constructions neuves et les rénovations.
Contrôle thermique qui vise à abaisser la température d'ambiance d'un bâtiment sans avoir recours à l'utilisation d'une machine frigorifique.
Contrôle thermique qui vise à abaisser la température ambiante d'un bâtiment en minimisant le recours aux techniques de refroidissement classiques consommatrices d'énergie.
... lire la suiteRèglement fixant l'ensemble de mesures techniques et organisationnelles visant à prévenir les accidents du travail et les maladies professionnelles.
... lire la suiteOrdonnance régionale bruxelloise qui vise à diminuer la consommation d'énergie primaire et les émissions de CO2 liées à l'exploitation des bâtiments, tout en garantissant le confort de leurs occupants.
... lire la suiteDétermine la différence entre la température intérieure de surface en un point quelconque de la surface intérieure et la température extérieure, lorsque la différence de température entre l'ambiance intérieure et l'ambiance extérieure du local est égale à 1 K. Plus le facteur est élevé, plus le risque de condensation de surface et de moisissure est élevé.
... lire la suiteRégulation de la température de l'eau en fonction de la température extérieure. Plus il fait froid dehors, plus la température de l'eau dans les radiateurs doit être chaude.
Remplacement du châssis dans le respect maximal des profilés originaux (châssis s'intégrant au caractère du bâtiment existant) réalisé sur base d'un relevé complet de l'existant avec récupération maximale des éléments constituant la fenêtre (quincaillerie, etc.).
Rapport entre la charge utile que les corps de chauffe émettent chaque mois, au profit du local chauffé, et la chaleur totale qu'ils émettent. Il comprend les déperditions de chaleur inutiles et les déperditions dues à une régulation imparfaite.
Rapport entre le flux lumineux émis par le luminaire et le flux lumineux des lampes. Situé entre 35 et 100%, il est d'autant plus bas que des éléments sont situés devant les lampes.
Pertes de chaleur évacuées dans les fumées chaudes pendant le fonctionnement du brûleur. Ce rendement fait l'objet d'exigence dans le cadre de la règlementation chauffage PEB. Exprimé en [%].
Rapport entre la chaleur que les corps de chauffe émettent au profit du local chauffé et la chaleur que l'installation de production de chaleur et/ou du ballon de stockage transmet au système de distribution de chaleur. Il reflète donc les pertes au niveau des conduites de distribution et des accessoires (vannes, circulateurs).
Rendement de production ou nominal ou utile ?utile: rendement instantané lorsque le brûleur fonctionne [%]
Rendement reprenant les pertes dues au décalage temporel entre la fourniture de chaud ou de froid et les besoins instantanés du local.
Calculé selon la norme NBN EN 308 et exprimé en %, il permet de déterminer la quantité d'énergie contenue dans l'air extrait qui est récupérée. Indirectement, il indique donc aussi le potentiel d'économie sur la consommation de chauffage dans le bâtiment.
Rapport entre la chaleur fournie au système de distribution et la chaleur transmise par l'installation de production de chaleur au ballon de stockage.
Evaluation de la qualité énergétique d'une lampe, définie comme le rapport du flux lumineux (en lumen) par la puissance électrique absorbée (en watt). [lm/W]
Matière composée de biomasse issue d'une source vivante, pouvant être continuellement renouvelée.
Contrainte maximale admissible par un matériau soumis à une charge d'écrasement.
Capacité d'une structure à résister de façon adéquate à toutes les charges qu'elle est susceptible de devoir supporter. La conception d'une structure doit prendre en compte l'ensemble des sollicitations susceptibles d'être exercées.
Iinverse du coefficient de transmission thermique U d'une paroi opaque. [m².K/W]
Résistance thermique minimale Rmin et coefficient de transmission thermique U d'une paroi opaque Umax : valeurs de résistance thermique minimale et coefficients maximum de transmission thermique globale imposées par l'OPEB.
Personne physique ou morale à qui incombe l'obligation de respecter les exigences PEB relatives aux installations et de faire procéder au contrôle et à l'entretien régulier de celles-ci.
Additifs utilisés dans la fabrication de plastiques, mousses ou résines pour diminuer les risques de propagation de flammes.
... lire la suiteTemps mis par les ondes sonores pour s'atténuer après réflexion sur les parois d'un local. Ce temps est défini par une chute de l'intensité sonore de 60 dB.
... lire la suiteDans le cadre des pompes à chaleur, mélange d'eau et d'un fluide réfrigérant utilisé comme antigel. La saumure est, par exemple, utilisée dans les conduites entre la pompe à chaleur et le sol.
Partie du volume protégé dotée d'installations techniques homogènes.
... lire la suiteNiveau de pression acoustique instantané, exprimé en [dB(A)], au-delà duquel le bruit produit par les sources est comptabilisé comme « événement ».
Système de production agricole visant la réduction des pressions sur l'environnement et la préservation des ressources naturelles.
Simulation permettant l'analyse du comportement thermique d'un bâtiment. Les élements composant le système modélisé varient en chaque instant en fonction des lois physiques / thermiques.
... lire la suitePratique associant arbres et cultures vivrières et/ou élevage sur une même parcelle.
Technique de production végétale se situant entre l'hydroponie et l'aquaculture, consistant à faire circuler de l'eau entre le compartiment des poissons et celui des végétaux (en circuit fermé ou semi-fermé), pour transférer les nutriments issus des déjections des poissons aux plantes.
... lire la suiteIndicateur de la puissance d'un ventilateur pour fournir un un débit d'air déterminé. Il est exprimé en [W/(m³/s)].
Cultures dans un milieu reconstitué et isolé du sol.
... lire la suiteDésigne un sol qui contient une concentration anormale de composés chimiques potentiellement dangereux pour la santé, des plantes ou des animaux, du fait d'anciens dépôts de déchets ou d'infiltration de substances polluantes.
Culture d'arbres fruitiers (basse, moyenne ou haute tige), sous forme palissée ou non.
Constituant le plus souvent liquide, volatil, ayant la propriété de dissoudre différents ingrédients (résine, peinture, etc.)
Technique de production végétale sur substrat inerte, alimenté par une solution enrichie en nutriments.
... lire la suiteModèle agricole basé sur la production de légumes spécifiques à haute valeur ajoutée, haut rendement, longue saisonnalité, cycles de croissance rapide, etc. et caractérisé par un faible investissement de départ (infrastructures).
Mode de production basé sur la reproduction des écosystèmes naturels et les interactions des espèces entre elles.
État d'une construction qui demeure en bon état d'équilibre, sans rupture ni tassement des matériaux qui la composent. Elle est assurée quand, en chaque point de la construction, les efforts provenant des charges extérieures ne dépassent pas la capacité de résistance du matériau.
Zones étapes du maillage vert ou bleu d'un espace urbain.
... lire la suiteEn géothermie, technique de stockage et d'extraction de l'énergie du sol, où la chaleur et le froid sont stockés dans les couches aqueuses du sol. En été, la basse température de l'eau froide est utilisée pour refroidir les bâtiments. La chaleur générée par ce refroidissement est stockée dans le sol et inversement en hiver.
... lire la suiteEn géothermie, technique de stockage et d'extraction de l'énergie du sol où un réseau de boucles verticales placées dans le sol fonctionnent comme des échangeurs thermiques, le sol faisant office de réservoir de stockage d'énergie.
... lire la suiteStratégie qui vise à tirer parti des conditions climatiques pour assurer le confort des occupants : en hiver, se protéger du froid et profiter des apports solaires, en été se préserver du soleil et favoriser le rafraîchissement. Et dans les deux cas, tirer le meilleur parti possible de la lumière naturelle.
Situation où le prélèvement en eau lié aux activités humaines se fait à un rythme plus élevé que son renouvellement naturel.
Composé nutritif spécifique aux toitures vertes qui assure l'apport nécessaire en nutriments, en eau et en oxygène permettant l'enracinement de la végétation.
Somme de surfaces vitrées transparentes ou translucides d'un bâtiment.
... lire la suiteSurface de l'ensemble des planchers du bâtiment
La surface plancher de l'unité PEB est la totalité des planchers offrant une hauteur libre d'au moins 2,10m dans tous les locaux. [m²]
... lire la suiteSomme des surfaces de planchers de chaque niveau de la construction situés dans le volume protégé, mesurées entre les faces externes des murs extérieurs. Sont comptabilisées les surfaces présentant une hauteur sous plafond minimale de 1,5 m, pour autant que l'espace considéré présente au moins en un point une hauteur minimale de 2,20 m.
Systèmes de plancher constitué par une dalle de 70 mm d'épaisseur en béton avec des nervures en acier du côté supérieur. Les nervures constituées de profils IPE sont percées pour laisser passer les canalisations et sont couvertes d'éléments de plancher au choix.
Il sagit d'un système permettant l'échange d'air entre l'intérieur et l'extérieur d'un bâtiment.
... lire la suiteEquipement technique fixe pour le chauffage, le refroidissement, la ventilation, l'humidification, l'eau chaude sanitaire, l'éclairage et la production d'électricité.
Ligne qui rejoint les points les plus bas d'une vallée ou du lit d'un cours d'eau.
Coefficient servant à déterminer l'efficacité saisonnière d'un climatiseur. Il correspond à la chaleur absorbée par le groupe frigorifique pendant une saison de refroidissement caractéristique, divisée par l'énergie électrique qu'il consomme pendant la même période. Il exprime donc une efficacité moyenne sur une période donnée.
Rapport entre la surface vitrée et la surface plancher du local, exprimé en [%].
Voir Gestion alternative des eaux usées
Les techniques intensives mettent en œuvre des traitements biologiques comprenant des traitements mécaniques, une oxygénation de l'effluent à épurer et/ou un support servant au développement de bactéries au rôle épuratoire. On retrouve différentes techniques : systèmes à biomasse fixée ou à biomasse immergée (disques biologiques, lits bactériens aérobie, boues activées), oxygénation intensive des eaux usées (Séquential Batch Reactor) et (ultra)filtration par membranes (Membrane Bio Reactor).
Traitements biologiques des eaux usées comprenant des procédés biologiques intensifs, en complément de procédés de gestion alternative, généralement utilisés en finalisation de l'épuration.
... lire la suiteDétermine la température, effective ou virtuelle, d'une source de lumière à partir de sa couleur, exprimée en Kelvin [K]. Le diagramme de Kruithof précise les valeurs recommandées de la température de couleur en fonction de l'éclairement.
Température ressentie par l'occupant. Elle prend en compte la température de l'air dans la zone d'occupation et les effets de rayonnement. De manière simplifiée, on dit qu'elle est égale à la moyenne entre la température moyenne pondérée des surfaces du local et la température de l'air.
... lire la suiteMesure de la conductivité hydraulique à saturation d'un sol à partir du niveau d'absorbtion de l'eau d'une fossé humidifiée dont le fond est préalablement rempli de gravier. Le niveau d'eau est à contrôler toutes les 10 minutes.
Fichier de données climatiques horaires sur une période de douze mois, utilisées lors de simulations numériques d'ensoleillement et de performance thermique de bâtiments.
Ensemble des constructions, équipements et réseaux constitutifs d'une ville ou d'un quartier.
Dispositif de toit plat ou incliné permettant de faire pousser des végétaux sous diverses formes, du simple tapis végétal au jardin, et de renforcer ainsi la biodiversité et le maillage vert.
Système instantané au gaz (chauffe-eau mural) acceptant l'eau préchauffée en entrée.
Part du flux lumineux qui traverse un vitrage dans le spectre visible exprimé en [%].
Fraction du rayonnement solaire passant à travers le vitrage, si on ne considère que la partie visible du spectre solaire. C'est une grandeur qui caractérise la transparence du vitrage. [%]
Stratégie en trois étapes destinée à réduire la consommation énergétique des bâtiments. Par ordre chronologique : 1. Diminuer la consommation énergétique en luttant contre le gaspillage ; 2. Utiliser autant que possible les sources d'énergie durables ; 3. Utiliser les combustibles fossiles de la manière la plus efficace possible pour répondre aux autres besoins énergétiques.
Désigne la teneur en matières en suspension, sédimentables ou flottantes, qui troublent l'eau.
Label environnemental officiel de la République d'Autriche pour produits et services, basé sur une analyse du cycle de vie et contrôlé par un organisme externe indépendant.
... lire la suiteNorme d'évaluation de l'éblouissement d'inconfort d'une installation intérieure, définie par le rapport technique de la Commission internationale de l'Eclairage CIE 117-1995.
L'uniformité de l'éclairement (U) est le rapport entre le niveau d'éclairement minimum et le niveau d'éclairement moyen sur l'ensemble de la surface considérée. Il s'exprime en pourcents (%).
Unité de référence dans l'Analyse de Cycle de Vie d'un produit. Elle permet d'exprimer les impacts sur un élément bien caractérisé d'une construction et comprend trois aspects : la fonction à remplir par le produit, la performance attendue et la durée de vie théorique.
... lire la suiteUnité permettrant de dénombrer les bactéries vivantes. Elle correspond à une colonie. Après division bactérienne, chaque unité représente un ensemble de l'ordre de 106 à 107 bactéries identiques à la surface d'un milieu de culture.
Rapport entre le flux émis dans l'hémisphère supérieur et le flux total, supérieur et inférieur combinés, sortant du luminaire. Il quantifie le flux émis directement vers l'hémisphère supérieur pour une inclinaison donnée et permet ainsi d'apprécier la capacité d'un luminaire à maîtriser la pollution lumineuse. Sa valeur est indiquée par le fabricant à l'aide d'une fiche technique.
... lire la suiteExprime le nombre de volume d'air d'un espace renouvelé par heure, à une différence de pression de 50 Pa entre l'intérieur et l'extérieur. Se calcul par unité de surface de l'enveloppe. Exprimé en [m3/h.m2].
... lire la suiteValeur de référence spécifiée pour la zone de bruit ou catégorie d'occupation d'un bâtiment par l'autorité régionale compétente.
On parle de vecteur énergétique au sens large, en tant que source d'énergie.
... lire la suiteAmenée d'air naturelle, par exemple par des grilles réglables dans les menuiseries ou des ouvrants automatisés. Evacuation naturelle par des cheminées verticales autant que possible. Extraction mécanique si nécessaire.
Le 21 mai 2013 fut adopté par la Région de Bruxelles-Capitale un outil intégrant l'ensemble des mesures à respecter en matière de qualité de l'air, de climat, et de maîtrise de la consommation énergétique : le Code bruxellois de l'air, du climat et de la maîtrise de l'énergie ou "CoBrACE".
... lire la suiteVentilation qui permet un rafraîchissement du bâtiment en été (renouvellement de l'air chaud intérieur par de l'air frais extérieur : freecooling, nightcooling)
... lire la suiteDispositif destiné à absorber le rayonnement solaire et à le transformer en électricité au moyen de cellules photovoltaïques
Ensemble de dispositifs mécaniques destinés à assurer le renouvellement de l'air à l'intérieur des pièces.
A partir du 1ier juillet 2017 la notion d'« affectation » n'est plus définie dans les textes réglementaires mais toujours utilisée au sens commun du terme c'est-à-dire pour préciser le type d'usage qu'il va être fait des unités PEB.
... lire la suiteUne personne physique ou morale agréée pour délivrer les certificats PEB.
Ville ou unité urbaine qui s'inscrit dans une démarche de respect des principes du développement durable et de l'urbanisme écologique, pour prendre en compte simultanément les enjeux sociaux, économiques, environnementaux et culturels de l'urbanisme pour et avec les habitants.
Document qui présente les indicateurs de performance énergétique d'une unité PEB sous forme numérique, alphabétique et graphique. En cas de vente, de l'octroi d'un droit réel, de la mise en location ou du leasing immobilier d'un bâtiment (existant), l'ordonnance oblige le titulaire ou le cédant du droit sur le bien de disposer d'un certificat PEB valide.
Vitrage de sécurité composé de deux ou plusieurs feuilles de verres assemblées par un ou plusieurs intercalaires de polyvinylbutyral (PVB). Après la mise en place du PVB, l'adhérence parfaite est obtenue par traitement thermique sous pression. L'efficacité de la protection dépend du nombre de films de PVB utilisés.
Quartier facile à vivre, qui favorise la qualité de vie grâce à sa forme naturelle et bâtie, la mixité des usages, la densité, la proximité des commerces et des services, ainsi que la qualité des aménagements urbains.
(ou V.P.) Volume des espaces dans lesquels de l'énergie est utilisée, en continu ou par intermittence, pour réguler le climat intérieur afin d'assurer le confort des personnes. [m³]
... lire la suiteValeur de référence (VR) spécifiée pour la zone de bruit ou catégorie d'occupation d'un bâtiment par l'autorité régionale compétente, exprimée en dB
L'état de ‘‘stress hydrique'' est atteint à partir du moment où les activités humaines prélèvent de l'eau à un rythme plus élevé que son renouvellement naturel.
Surface de l'espace de travail à laquelle on soustrait la zone de travail. Elle se compose en général au minimum d'une bande de 50 cm le long des parois et/ou du mobilier du local.
Selon un arrêté du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, masse d'eau eutrophe ou qui pourrait le devenir à brève échéance si des mesures de protection ne sont pas prises. Elle est caractérisée par un rapport entre l'azote et le phosphore supérieur à 10 et une carence en phosphore. Voir euthrophisation
Personne physique ou morale agréée pour établir la proposition PEB, la notification de début des travaux et la déclaration PEB.
Débit de ventilation qui doit être réalisé au minimum dans le local, selon la norme NBN D 50-001.
Document qui décrit les mesures prises en vue du respect des exigences PEB et détermine par calcul si ces exigences sont respectées. Pour les bâtiments neufs, la déclaration PEB rédigée par le conseiller PEB servira de document de base pour la rédaction du certificat PEB. Ce certificat PEB sera établi par Bruxelles Environnement.
L'agrément est délivré à une personne physique ou morale remplissant certaines conditions, qui a introduit un dossier de demande complet auprès de Bruxelles Environnement. Bruxelles Environnement délivre, suspend ou retire l'agrément du conseiller PEB et du certificateur.
Cette notion permet la détermination de la quantité de chaleur consommée sur une période donnée afin d'effectuer des comparaisons entre des bâtiments situés dans des zones climatiques différentes. DJ = nombre de jours chauffés x (T intérieure moyenne - T extérieure moyenne)
La notion de "Degrés-jours équivalents" tient compte de l'effet des gains internes (température de non chauffage) ainsi que de l'effet des gains solaires (température sans chauffage), et permet d'attribuer les besoins nets de chauffe d'un bâtiment sous forme d'un nombre de degrés jours mensuels. [jours K]
Voir « Surface de déperdition thermique ».
Espaces avec (un risque de) pollution pour lesquels d'autres exigences que celles de la réglementation Travaux PEB (spécifiques / plus contraignantes) concernant la ventilation sont d'application. Ces espaces spéciaux sont énumérés à l'annexe VHNR de l'arrêté Exigences.
... lire la suiteLorsque le projet pour lequel il existe une demande est constitué d'une ou plusieurs unités PEB neuves, ou est constitué d'une ou plusieurs unités PEB assimilées à du neuf ou rénovées lourdement qui ensemble font plus de 5.000 m2, le conseiller PEB rédige une étude de faisabilité technique, environnementale et économique qui porte sur les possibilités d'implantation de systèmes solaire thermique, solaire photovoltaïque et de cogénération de qualité, ou d'autres systèmes alternatifs déterminés par le Gouvernement et qui permettent un gain en énergie primaire.
Lorsque le projet pour lequel il existe une demande est constitué d'une ou plusieurs unités PEB neuves qui ensemble font plus de 10.000 m2, ou est constitué d'une ou plusieurs unités PEB assimilées à du neuf ou rénovées lourdement qui ensemble font plus de 10.000 m2, une étude de faisabilité intégrée, qui porte sur la possibilité d'atteindre les exigences PEB consommation " zéro énergie ", est rédigée.
... lire la suiteFormulaire qui contient la date du début des travaux et le cas échéant l'indication que les calculs du respect des exigences PEB ont été réalisés et sont disponibles.
(OAR) Ouverture dans un élément de façade permettant la pulsion d'air neuf extérieur pour un système de ventilation naturelle ou de ventilation mixte type C.
(ou OT) Ouverture effectuée dans certaines parois ou portes intérieures permettant le libre passage de l'air entre les pièces où sont situées les ouvertures d'alimentation d'air et ceux possédant les ouvertures d'évacuation.
(ou OER) Conduit d'évacuation principalement vertical permettant l'extraction de l'air vicié pour un système de ventilation naturelle ou de ventilation mixte type B.
Assemblage de capteurs solaires, montés en série, en parallèle, ou de façon mixte. La structure globale constituée par ces différentes configurations de panneaux et leur support constitue un générateur solaire dont on peut définir les caractéristiques (surface occupée, courant délivré, etc.).
Formulaire qui contient la division du projet visé par la demande de permis d'urbanisme, en unités PEB neuves, assimilées à du neuf, rénovées lourdement ou simplement, ainsi que les éléments liés à l'énergie et au climat intérieur qui ont un impact sur les prescriptions urbanistiques, et la justification de l'exclusion partielle ou totale du projet du champ d'application de la réglementation Travaux PEB.
La puissance maximale fixée et garantie par le constructeur comme pouvant être fournie en marche continue tout en respectant les rendements utiles annoncés par le constructeur. [kW]
(ou R) La PEB impose les valeurs minimum de résistance thermique que doivent réaliser les éléments de construction. Exemple : murs en contact avec le sol : R min = 1.5 m² K / W. [m²K/W]
Ensemble de toutes les parois qui séparent le volume protégé de l'ambiance extérieure, du sol et d'un espace n'appartenant pas à un volume protégé [m²].
La surface d'utilisation d'un espace ou d'un groupe d'espaces est la surface, mesurée au niveau du sol, délimitée par les parois verticales qui enveloppent l'espace ou le groupe d'espaces. [m²]
... lire la suiteUne combinaison de toutes les composantes nécessaires pour assurer une forme de traitement de l'air dans un bâtiment, par laquelle la température est contrôlée ou peut être abaissée, éventuellement en conjugaison avec un contrôle de l'aération, de l'humidité et/ou de la pureté de l'air.
(of TRS) Mesure de rentabilité correspondant à la période de temps au terme de laquelle les gains générés par l'installation sont équivalents au montant de l'investissement initial. [an(s)]
(ou TRI) Outil de décision à l'investissement. Mesure de rentabilité en fonction du temps nécessaire à la récupération du montant d'investissement.[an(s)]
L'unité PEB est un ensemble de locaux dans un même volume protégé, conçu ou modifié pour être utilisé séparément et qui répond à la définition d'une affectation.
... lire la suite(ou URE) Utilisation de l'énergie par des consommateurs dans un souci de rationalité tenant compte des contraintes sociales, politiques, financières et d'environnement.
... lire la suiteVolume d'eau du ballon de stockage destiné à être (éventuellement) chauffé par l'énergie solaire. [m³]
Partie fermée d'une unité PEB, alimentée par le même type de système de ventilation.
... lire la suiteSe dit en présence d'un organisme qui nécessite de l'oxygène pour sa survie.
... lire la suiteMatériaux enrobés de feuilles réfléchissantes, qui réduisent les échanges thermiques par rayonnement. L'épaisseur d'un produit mince réflechissant est généralement comprise entre 5 et 30 mm. Il peut être utilisé en complément à un isolant traditionnel, ou dans des cas où l'espace est très limité.
Document transversal reprenant les ambitions et les objectifs généraux du projet de construction et définissant les exigences fonctionnelles et techniques pour les atteindre. Elaboré dès la phase de conception, il concerne toutes les étapes du projet et permet d'en faire le suivi. Mis à jour régulièrement par l'équipe de conception, il est validé par le maître d'ouvrage. Il sert de base aux cahiers des charges.
Label français désignant un ensemble de normes de construction pour des bâtiments à faibles besoins énergétiques.
Démarche adoptée en phase de conception d'un projet de construction, quelles que soient son affectation et sa taille, visant à rassembler tous les acteurs professionnels concernés dans une démarche collaborative pour créer des synergies.
Démarche de rationalisation de la consommation d'énergie pour réduire la consommation en conservant le même confort.
Tableau électrique des grandes installations électriques qui fait le lien entre l'arrivée du courant en provenance du réseau et sa distribution au sein d'un bâtiment.
Système de cogénération de puissance inférieure à 5 kWé qui s'applique aux bâtiments ayant de faibles besoins en chauffage (inférieurs à 15 MWh/an) et en électricité (inférieurs à 5 MWh/an).
Générateur d'électricité qui transforme l'énergie d'une réaction chimique en courant électrique continue, en utilisant de l'hydrogène combiné à un oxydant, essentiellement l'oxygène contenu dans l'air.
Centrale thermique qui associe une turbine à combustion et une turbine à vapeur, permettant ainsi d'obtenir un meilleur rendement.
Technologie basée sur un cycle thermodynamique classique où l'eau est remplacée par un fluide organique caloporteur, ce qui permet d'utiliser des fluides frigorigènes se vaporisant à plus basse température.
Représentation schématique d'une installation électrique ne tenant pas compte de la position géographique du matériel électrique
Rapport entre le niveau d'éclairement minimum et le niveau d'éclairement moyen sur l'ensemble de la surface considérée, exprimé en [%].
Mise en œuvre de solutions pour limiter la transmission du bruit au travers des parois, en agissant sur la structure même de celle-ci.
Personne chargée du respect de la mise en œuvre effective sur chantier des mesures liées aux risques environnementaux préalablement identifiés.
... lire la suiteDocument de référence reprenant la stratégie durable du chantier, qui liste les mesures permettant d'atteindre les objectifs environnementaux fixés.
... lire la suiteComité d'accompagnement d'un projet de construction, mis en place pour stimuler une démarche de qualité en phase d'élaboration. Il est constitué d'experts externes au projet proposant un regard critique et une expertise en matière architecturale, urbanistique, technique et environnementale.
Outil d'analyse stratégique qui combine l'étude des forces et des faiblesses d'un projet avec celle des opportunités et des menaces de son environnement, afin d'aider à la définition d'une stratégie de développement.
En phase de conception d'un projet de construction, processus d'implication de différents acteurs professionnels (partenaires techniques, pouvoirs publics, ...) ou non professionnels (usagers, riverains, ..), habituellement perçus comme extérieurs au projet.
... lire la suiteMécanisme d'incitation à la production d'électricité à partir de sources d'énergie renouvelable (photovoltaïque, éolienne, cogénération).
... lire la suiteOuverture ou surface qui permet d'évacuer les eaux : le sol, le réseau d'eaux de surface, le réseau séparatif d'eau pluviale ou le réseau d'égouts.
Paramètre représentant la valeur limite de la vitesse d'écoulement, horizontale ou verticale, dans un sol saturé dont le matériau et la granulométrie sont homogènes, exprimé en [mm/h] ou [m/s]. A ne pas confondre avec la capacité d'infiltration, même s'il l'influence. Ce paramètre est utilisé pour dimensionner les ouvrages.
Débit d'infiltration d'un sol par unité de surface exprimé en [mm/h] ou [m/s]. Ce paramètre décroit avec l'augmentation de la teneur en eau du sol jusqu'à tendre vers la valeur de la conductivité hydraulique du sol.
Toute personne s'équipant d'une installation de production électrique locale et qui est raccordée au réseau électrique.
Production électrique locale directement consommée sur place.
... lire la suiteRapport de la production électrique locale sur la consommation électrique totale
... lire la suiteMesure de la puissance que peut fournir une installation solaire photovoltaïque
... lire la suiteRapport de la puissance produite par unité spécifique, ce qui permet de caractériser le niveau de performance d'une technologie rapporté à une unité parlante
... lire la suitePuissance qui est le produit des valeurs efficaces de la tension et du courant électrique en régime alternatif
... lire la suiteRapport entre une production et une unité spécifique
... lire la suiteCaractérise la performance d'un système et se définit comme le rapport entre la production réelle et la production de référence (théorique).
Dispositif permettant de limiter le débit d'eau de pluie évacué d'une parcelle (réseau égouttage, cours d'eau, etc.). Il est installé en sortie d'un volume tampon (bassin d'orage, noue, tranchée, etc.) La combinaison du volume tampon et du régulateur de débit lutte contre le risque d'inondation en aval.
Rapport entre le volume de vide et le volume total d'un sol ou d'une structure réservoir. Il permet d'exprimer la capacité de stockage en eau de ces éléments.
Quantité d'énergie dégagée par la combustion complète d'une unité de combustible.
Température limite à laquelle l'eau contenue dans une masse d'air commence à se condenser. Cette température dépend aussi des conditions de pression et d'humidité de l'air.
Quantité d'énergie dégagée par la combustion complète d'un combustible, hors récupération de la vapeur d'eau condensée.
Quantité d'énergie dégagée par la combustion complète d'un combustible, en prenant en compte la chaleur latente récupérée par la vapeur d'eau condensée (Lv).
Ouvrage intégré à un dispositif de gestion des eaux, obstruant l'écoulement de l'eau par le haut, l'obligeant à s'écouler en siphon par en dessous.
Indice d'affaiblissement acoustique pondéré d'un élément de construction.
Bruit émis par une source et dont le son est transmis par la vibration de l'air
... lire la suiteBruit émis par une paroi mise en vibration sous l'effet d'un choc direct
... lire la suiteIndice unique d'évaluation de la protection contre le bruit de choc calculé à partir des résultats de mesures in situ.
... lire la suiteNiveau de pression acoustique équivalent continu pondéré A sur la durée T et énergétiquement équivalent à un bruit fluctuant sur la même durée T.
Phénomène propre aux matériaux non transparents qui atténuent toute onde électromagnétique les traversant. Le taux d'absorption varie selon la longueur d'onde de la lumière incidente ce qui donne la couleur du matériau.
Phénomène naturel grâce auquel la matière capture les photons du rayonnement solaire et les transforme en chaleur.
Minuscules animaux, de l'ordre de 0,5 mm, de la famille des araignées. Les acariens domestiques sont les plus allergisants. Ils se nourrissent de squames humaines et se développent en milieu humide et chaud. En milieu plus sec, ils se dessèchent et meurent.
... lire la suiteProcédé qui consiste à utiliser la capacité de stockage thermique du béton pour chauffer ou refroidir un bâtiment en y faisant circuler de l'eau.
... lire la suiteSurface totale du local considéré en m² multiplié par le coefficient d'absorption acoustique moyen de ce local.
Se dit en présence d'un milieu ou d'un organisme sans oxygène.
... lire la suiteMéthodologie d'identification des coûts et des profits financiers d'un produit ou d'un service, en termes d'investissement, de gestion, d'entretien et de fin de vie (démantèlement, déconstruction, démolition). Elle est souvent réalisée pour une période courte (de 20 ou 30 ans) et une période longue (de 50 ou 60 ans) pour évaluer les effets à moyen et long terme.
Méthode d'évaluation multicritères qui mesure les impacts environnementaux d'un produit en adoptant une vision globale de son cycle de vie. Elle permet de déterminer des priorités d'action pour diminuer les impacts environnementaux.
... lire la suiteCorrespond à un milieu aquatique pratiquement exempt d'oxygène dissout.
Volume d'un bâtiment largement vitré, destiné à l'accueil ou à la distribution à l'intérieur du bâtiment. Il peut servir de puits de lumière, d'espace thermique tampon entre deux bâtiments ou de système de climatisation passive à condition d'être ni chauffé, ni refroidi.
Pourcentage des heures occupées par an en un point d'un bâtiment où le niveau minimum d'éclairement lumineux requis peut être assuré par la seule lumière naturelle.
... lire la suiteRéservoir permettant le stockage de l'eau chaude. Ce réservoir crée une capacité tampon d'eau, pour satisfaire des besoins de chauffage ou de fourniture d'eau chaude sanitaire.
Limite physique du volume étanche du bâtiment. Comme pour l'isolation, elle doit pouvoir être dessinée de manière continue sur tous les plans et toutes les coupes. Elle peut se positionner à n'importe quel endroit de l'enveloppe : côté extérieur de l'isolant, elle doit être perméable à la vapeur d'eau ; côté intérieur, elle constitue le pare-vapeur.
Territoire sur lequel l'ensemble des eaux précipitées convergent vers un même exutoire (cours d'eau, étang, etc.).
... lire la suiteBâtiment dont la consommation d'énergie est nulle ou très faible, grâce à une efficacité énergétique élevée très largement couverte par l'énergie produite à partir de sources renouvelables, sur place ou à proximité.
Bâtiments à haute qualité énergétique et environnementale réalisé dans le cadre d'un appel à projet organisé par la Région de Bruxelles-Capitale.
Logements, établissements scolaires, hôpitaux et zones calmes à préserver du bruit conformément à la directive européenne 2002/49/CE relative à l'évaluation du bruit dans l'environnement.
Chaleur à fournir ou à extraire (par m² de plancher climatisé) d'un espace conditionné pour maintenir les conditions de température voulues pendant une période donnée .
Besoin énergétique net pour le refroidissement (kWh/m²/an) : valeur théorique déterminée notamment par le logiciel PEB et représentant la charge à refroidir annuellement. Cette unité est indépendante de la machine frigorifique et a trait à la conception du bâtiment et aux charges internes. Dès 2015, la RBC imposera un maximum légal de 15 kWh/m²/an pour cette valeur.
Approche analytique et systématique qui prend en compte les relations entre les différents éléments, leurs effets réciproques ainsi que les effets de compensation, de synergie et d'antagonisme. Il concerne notamment la réduction des impacts directs et indirects sur l'environnement.
Agent polluant d'origine biologique : il peut s'agir de microbes (virus, bactéries, etc.), de moisissures, d'allergènes (poils, plumes, squames, acariens, etc.). Leur origine peut être animale ou végétale et les effets aggravés par les conditions d'habitat (température, matériaux, aération, humidité, etc.).
Ensemble de produits destinés à détruire, repousser ou rendre inoffensifs les organismes nuisibles, à en prévenir l'action ou à les combattre, par une action chimique ou biologique, et susceptibles d'avoir des effets nuisibles sur l'homme, l'animal ou l'environnement.
... lire la suiteBiocombustible fabriqué à partir d'huile végétale et transformé moyennant un processus chimique. Il présente presque les mêmes propriétés que le carburant diesel classique avec lequel il peut être mélangé. Il est rarement utilisé pur en raison de son coût de revient élevé. Le biodiesel est une variété de biofuel.
Gaz découlant de processus biologiques résultant de la fermentation de matières organiques comme le lisier, les boues d'épuration ou les déchets végétaux.
Biocombustible liquide fabriqué à partir d'huile végétale, généralement du colza.
Variabilité des organismes vivants de toute origine y compris, entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie ; cela comprend la diversité au sein des espèces et entre espèces ainsi que celle des écosystèmes.
... lire la suiteEnsemble des végétaux et des animaux, ainsi que des déchets organiques qui leur sont associés. La biomasse végétale provient de la photosynthèse et constitue une source d'énergie renouvelable. Selon la norme ISO 14021, amendement 1 : « Matière d'origine biologique, excluant : les matières intégrées aux formations géologiques, les matières transformées en matières fossiles et la tourbe ».
Effondrement de la totalité du réseau électrique qui peut être la conséquence d'une pénurie s'étant aggravée ou d'un problème technique imprévu.
Label environnement général allemand établi en 1977 qui intègre des critères écologiques qualitatifs relatifs à la santé et à l'étiquetage, mais pas de critères économiques et sociaux. Il s'appuie sur une analyse complète de cycle de vie, mais ne prend pas en compte le transport entre le site de production et celui de la mise en œuvre.
... lire la suiteTechnique réalisée selon la norme NBN EN 13829, mise en place pour mesurer le degré d'étanchéité à l'air d'un bâtiment ou d'une partie de bâtiment pendant et après sa construction. Le bâtiment est mis sous pression par un ventilateur et la perte de pression est mesurée. On parle aussi de test d'infiltrométrie, de pressurisation ou de la porte soufflante.
... lire la suiteBois traité par pyrolyse à une température comprise entre 200 et 250°C. Il s'agit d'un traitement en profondeur irréversible qui conduit modifie la matière elle-même et sans ajout d'aucune substance chimique. La rétification améliore les propriétés physiques du bois, notamment la stabilité dimensionnelle, la dureté, une couleur dans la masse homogène. On parle aussi de carbonatation partielle.
Boites installées sur le réseau de ventilation, permettant de réguler le débit d'air pulsé, généralement de 30 à 100%. Le pilotage pouvant se faire sur base horaire, CO2, etc
Méthode d'évaluation de la performance environnementale des bâtiments développée par le Building Research Establishment (BRE).
... lire la suiteBruit généré dans le voisinage à l'exception des bruits générés par les trafics, les engins de jardinage motorisés, les activités militaires, scolaires, de culte, les activités sur la voie publique sans musique amplifiée, les chantiers, les stands et aires de tir.
Terme désignant les installations de chauffage, de ventilation et de conditionnement d'air.
Modules photovoltaïques intégrés dans les structures et les bâtiments remplaçant les matériaux de construction traditionnels.
... lire la suiteEnsemble de constructions, qu'il s'agisse d'établissements publics ou d'habitations individuelles ou collectives
Enceinte en aluminium conductrice reliée à la terre de façon à maintenir son potentiel fixe, utilisée pour protéger des nuisances électriques ou électromagnétiques extérieures et pour faire des mesures précises en électronique, électricité ou sur les ondes électromagnétiques.
... lire la suiteQuantité de chaleur nécessaire pour élever d'un degré la température d'un m³ de matériau, exprimée en [J/(m³.K)]
Aptitude d'un volume de matériau à stocker la chaleur thermique. Symbolisée par c ou C, cette valeur est le produit de la chaleur spécifique (c) et de la densité du matériau. Elle s'exprime en Wh/m³.K ou en J/m³.K. Plus la valeur est élevée, plus le volume de matériau a la capacité de stocker la chaleur.
Dispositif destiné à absorber le rayonnement solaire et à transmettre la chaleur ainsi produite à un fluide caloporteur.
Capteur régulant l'allumage et l'intensité lumineuse de l'éclairage artificiel en fonction du niveau d'éclairement extérieur.
Agréation de matériaux en contact avec l'eau potable et l'eau destinée à la production d'eau potable, ou plus généralement de produits de construction destinés à être mis en contact avec l'eau potable, ainsi que ceux en contact avec l'eau dans les installations de production et de traitement des eaux destinées à leur potabilisation.
Groupe de travail du Comité Européen de Normalisation, Technical Committee 350, mandaté par la Commission européenne.
... lire la suiteCapacité d'un matériau à emmagasiner la chaleur en fonction de son poids, exprimée en [J/(kg.K)]. Plus cette valeur est élevée, plus le matériau sera capable de stocker de la chaleur. On parle aussi de capacité thermique massique.
Effet d'attraction ou de répulsion exercé par une charge électrique sur une autre, mesuré en [V/m]. Plus la tension d'alimentation d'un appareil est grande, plus le champ électrique qui en résulte est intense.
... lire la suiteLe champ électrique et le champ magnétique constituent un ensemble appelé champ électromagnétique (ou onde électromagnétique) d'une certaine longueur d'onde. Présents partout dans notre environnement, certains sont naturels, comme le champ électrique qui peut se former quand il y a de l'orage, ou le champ magnétique autour de la Terre, qui dirige l'aiguille des boussoles. D'autres sont créés artificiellement par l'activité humaine. Les champs électromagnétiques se propagent sous forme d'ondes. Cette propagation est appelée rayonnement.
Champ de force résultant du déplacement de charges électriques capable de dévier la trajectoire de particules chargées, mesuré en [Ampère/mètre] . Plus l'intensité du courant est forte, plus le champ d'induction magnétique est fort. On mesure la densité de flux ou induction magnétique exprimée en [T] ou en [G] (1 mG = 0.1µT).
... lire la suiteChaleur produite dans le bâtiment. On distingue les sources internes (liées aux occupants, à l'éclairage et à l'appareillage électrique) de la source externe qu'est le soleil dont le rayonnement pénètre dans le bâtiment à travers son enveloppe.
Niveau maximum de fuite d'air du réseau de ventilation sous des conditions de test spécifiées, exprimés en [ l.m²/s.].
... lire la suiteParamètres relatifs à l'ambiance intérieure qui influent sur la performance énergétique des bâtiments selon la norme NBN EN 15251 (2007).
... lire la suiteCatégorie de performance de filtres selon leur capacité à arrêter des particules de plus en plus petites, en fonction les caractéristiques de l'air entrant (température et humidité, teneur en poussières, granulométrie des poussières, nature et structure physique des poussières).
... lire la suiteLa méthode de calcul pour les bâtiments/logements tient compte de: la ventilation et étanchéité à l'air, niveau d'isolation thermque du bâtiment, apports solaires, gains internes, rendement des systèmes de chauffage, refroidissement , production d'eau chaude sanitaire et l'utilisation des resources d'énergie renouvelable. Sur base de ces caractéristiques, le bâtiment est classé sur une échelle allant de A (très econome) à G (très énergivore).
Paroi verticale non-portante résultant d'un assemblage de différents matériaux (structure, éléments plans et matelas isolant). Rapide à installer et flexible, elle est cependant peu efficace en termes thermique et acoustique.
Paroi réalisée à partir d'éléments assemblés ou collés, à l'aide de mortier. Son poids est un atout pour assurer le confort thermique, voire hygrométrique, des espaces intérieurs.
Base juridique de l'urbanisme en Région de Bruxelles-Capitale, il régit les grands mécanismes de l'aménagement du territoire bruxellois. Publié au Moniteur belge du 26 mai 2004, il est entré en vigueur le 5 juin 2004.
... lire la suiteCaractérise les lampes par un code à 3 chiffres où le premier chiffre renvoie à l'indice de rendu de couleur de la lampe et les deux suivants à la température de couleur, liée à la répartition spectrale.
Image de la distribution lumineuse d'un luminaire. Ils peuvent être extrapolés à partir de sa courbe de distribution lumineuse.
Grandeur associée à la capacité d'un revêtement à absorber l'énergie d'une onde sonore. Ce chiffre varie de 0 à 1. Plus il est grand, plus le matériau est absorbant.
Capacité d'une surface à absorber l'énergie radiante incidente, exprimée par un nombre compris entre 0 et 1. Le solde du rayonnement solaire est soit réfléchi et diffusé, soit transmis dans le cas d'un matériau transparent.
... lire la suiteRapport entre la surface imperméabilisée équivalente et la surface totale de la parcelle, en tenant compte de l'ensemble des surfaces imperméabilisées (toitures et aménagements des voiries, des parkings, des accès et des abords).
Coefficient décrivant la proportion des surfaces favorables à la biodiversité par rapport à la surface totale de la parcelle.
... lire la suiteGrandeur physique caractérisant le comportement des matériaux lors du transfert thermique par conduction, notée λ. Elle représente la quantité de chaleur transférée par unité de surface et de temps, sous un gradient de température de 1 degré pour une épaisseur d'un mètre. Exprimée en [W/m.K].
(ou λ) Grandeur physique caractérisant le comportement des matériaux lors du transfert thermique par conduction. Notée λ, cette constante représente l'énergie (quantité de chaleur) transférée par unité de surface et de temps sous un gradient de température de 1 degré par mètre. Elle s'exprime en [W/m.K]
Coefficient de performance COP : caractérise les performances d'une pompe à chaleur. Le COP est le rapport entre la chaleur fournie par le condenseur et l'électricité consommée pour la produire. Plus le COP est élevé, plus la pompe à chaleur est performante. [/]
Quantité d'énergie lumineuse en [%] réfléchie par une surface par rapport à celle qu'elle reçoit. Plus ce facteur est élevé, plus la lumière reflétée est importante.
Rapport entre la hauteur d'eau ruisselée à la sortie d'une surface considérée dite pluie nette et la hauteur d'eau précipitée dite pluie brute.
Fraction en [%] du rayonnement solaire visible transmise par le vitrage, une partie de la lumière étant réfléchie vers l'extérieur et une autre étant absorbée par le matériau.
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