Dans les bâtiments tertiaires classiques, l'électricité consommée par l'éclairage artificiel représente plus de 15% des consommations d'énergie. Dans les bâtiments passifs, l'éclairage devient même souvent le poste le plus énergivore.
La conception d'un bâtiment se doit donc d'intégrer la question de la lumière, autant artificielle que naturelle.
Ceci afin de maîtriser les consommations d'énergie bien sûr, mais aussi de garantir le confort visuel (et thermique) indispensable aux occupants.
Actuellement, le marché de l'éclairage est en mutation et propose de nouvelles solutions de plus en plus économiques. Les LED, dont on parle tant, sont-elles la solution miracle ?
D'autre part, différentes solutions de gestion d'éclairage artificiel permettent de faire de belles économies. Quelles sont ces techniques et comment garantir la bonne maintenance de ces systèmes de plus en plus complexes ?
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